Chapitre 28

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La cage fut ouverte et l'octaling terrifiée en sortie.

On enchaîna ses bras à des chaînes qui pendaient exprès.

Elle pouvait tout de même bouger un peu et elle s'effondrit par terre en pleurant, les bras lever vers le ciel à cause des chaînes.

237 008 me tandis l'arme.

Je la brandis dans les airs pour que tout le monde puissent la voir.

Plus aucun bruit dans la salle.

L'octaling était à genoux, me suppliant de la laisser en vie. Elle pleurait et criait qu'elle ne le méritais pas.

Adèle s'adresse donc aux octalings :

-Va-t-on laisser une octalings comme elle en vie ?

Des "non" se firent entendre.

-On ne va pas la laisser salir notre image et gâcher notre peuple. N'est-ce pas ?

Les octalings criaient qu'Adèle avait raison pendant que l'octaling pleurait et implorait notre pitié.

-S'il vous plaît je vous en supplie, laissez moi vivante ! Cria-t-elle en pleurant de plus belle.

La foule d'octaling la hua.

Elle arrêter de parler, peu à peu, la foule aussi, en entendait plus que le silence de la cave gâcher par ses pleures qu'elle tentais de retenir.

Je lui pointa l'arme sur le front et tira, une balle vient de loger dans son crâne.

Rapide, efficace.

Adèle ordonna qu'on la dégage puis fit venir la deuxième octalings.

La deuxième qu'on attacha c'est l'autre bouffonne qui a abîmé une des machines.

-Vous avez affaire là à une grande traite, commence Adèle en rigolant.

Mais elle n'eut pas besoin d'en dire plus, la foule clamait déjà sa mort.

Le fille pleurait en silence. Elle savait que c'était finit.

Je plaqua l'arme sur son front et un balle parti et elle fut dégager de l'estrade, comme l'autre.

On redescendit de l'estrade avec 237 008 et on se sépara pour aller enlever notre petit déguisement.

Je reviens vers les 4S et Rider qui étaient tétanisés.

Ils n'ont aucun moyen fiable de savoir que s'était moi.

Mis à part la cape que j'ai dans mes mains, et le masque en tissu et en enroulé dedans. Mais il fait sombre ils ne verront rien.

-C'était qui sur scène ? Demande Army dès que j'arrive à leur niveau.

-J'en sais rien, y'a que Adèle qui sait.

Cette dernière passe justement non loin de nous.

-Mh, Adèle ! Dis-je en m'approchant d'elle.

Elle me prend ce que j'avais dans les mains et me dis que c'était du super boulot avant de me dire d'aller m'occuper des inklings.

Elle part en rigolant en disant qu'ils sont traumatisés.

Je voulais sortir de la cave mais ça prend longtemps le temps que tout le monde sorte.

Quelque me donne un coup de coude.

C'est 237 008.

-T'étais avec Adèle ? Demandais-je en parlant doucement pour qu'elle seule puisse m'entende, sur l'estrade je veux dire.

Je cherche la guerre. Ou l'amour ? [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant