Chapitre 23

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Pendant qu'Adèle alla au dernier étage en libérant les octalings, je reparti vers l'arène : ils savent qui a fait ça.

J'entre en déclarant qu'ils doivent tous sans exception être enfermés dans les caves jusqu'à ce que l'un d'entre eux dénoncent les coupables.

Je les emmèna donc jusqu'à la cave, aidé des stagiaires.

Quand j'ouvris la trappe, ils entrent tous terrifiés.

Army se tenait dernière les autres, il reculait au fur et à mesure que les autres entrait.

Une fille qui pouvait encore ouvrir les portes nous accompagna pour ouvrir toutes les cellules.

Les stagiaires partirent enfermer les inklings.

Army : Camille, j'ai rien fais je t'en supplie m'enferme pas !

Je fus prise d'une certaine pitié envers l'inkling.

Camille : Tu m'as aider en sois, non alors, viens.

Je le conduis dans sa chambre et l'y, laissa.

Des techniciennes commençait déjà à réparer l'énorme machine et d'autre octalings transféraient les données ou je ne sais quoi.

En retournant dans la cave je croisa Adèle et lui expliqua brièvement que le seul inkling qui avait bien voulu m'aider pour retrouver les stagiaires n'étaient pas dans la cave pour être interrogé mais dans sa chambre.

Adèle me demande de commencer par l'interroger lui.

Je retourna donc dans la chambre du S4.

J'entra.

Camille : qui a fait ça ?

Army : qui a fait quoi ?

Camille : les inklings, ils ont fait explosé le générateur qui permettait d'ouvrir et fermer les portes et de gérer les puces et tout ça.

Army : Nos puces sont désactivées ?

Je réfléchis vite fait : le troisième générateur, énorme aussi, n'avais pas été touché.

Camille : Non elles vont bien les votres.

Army : Mais la tienne aussi donc c'est que celle des stagiaires qui fonctionnent plus.

Trop intelligent. Je lui dis que oui.

Camille : Tu sais qui a fais exploser le générateur ?

Army : Attend mais ils ont fais explosé un générateur ?

Camille : Oui.

Army : Non j'en sais rien, désolé.

Je sorti donc, ça ne servait à rien de chercher à savoir auprès il n'en sais rien.

Camille : Army, si on te demande tu dis que je t'ai menacer de mort pour que tu parles.

Army : Pourquoi tu le fais pas ?

Camille : Ça sers à rien, je sais que t'es sincère. Ce que tu sais, je le sais déjà.

Je m'apprêtais à refermer la porte derrière moi :

Army : Camille ?

Camille : Mh, quoi ?

Army : Merci.

Je referme la porte sans rien répondre en lachant un sourire.

Je redescendis a la cave. L'heure des menaces à sonner.

Quand j'arrive une bonne dizaine d'octalings interrogeais déjà les inklings. L'un d'eux sais forcément quelque chose.

Mais visiblement ce n'était pas très concluant.

Je m'approcha de la première cage.

-Eh, tu sais quelque chose ?

C'était un inklings aux tentacules bleus, il avait l'air d'en avoir rien à foutre de la situation.

Je l'attrapa par le col à travers les barreaux et je secoua.

-Oh répond ! Qui à fait ça ?!

Il paru effrayé et bégayait qu'il n'en savait rien. Je le menaça de mort et il ne changea pas son avis sur la question.

Je passa a un autre inklings choisi au hasard.

Une bonne demi-heure plus tard, je déclara alors :

-La dizaine d'inkling à qui j'ai parler, je les montra chacun un par un, après demain vous serez exécuter si personne ne parle. Et on fera ça tous les jours.

-Et pourquoi on ne mourirai pas demain ? Ou aujourd'hui ? Demande le bleu à qui j'ai parler en premier.

-Parce que demain on a organisé un petit événement entre les octalings, ça se déroule ici même dans la cave, vous pourrez voir le spectacle.

Certain parurent enchantés avant que certain ne commence à dire que ça allait être horrible.

La journée se passa, en fin de soirée, le générateur était réparé et des octalings avaient déjà prévu de passer la nuit à transférer toutes les données.

Dans la nuit, en pleine insomnie en repensant à tous ce qui s'est passer je décide de retourner dans la grotte.

Je descend à la cave et allumé les faible lumières.

Très peu inklings se réveillent.

J'en prend un qui a l'air de pouvoir avoir des informations : un grand gars, l'air sur de lui, aux tentacules jaune.

J'ouvre sa cellule et l'y en sors.

Il rigolant, narguant ceux qui était réveillé et en réveillant quelque uns en plus.

Je reconnu aussitôt son rire insupportable : hier aussi, il riait.

Je le prends par le cou et le pousse en avant en déclarant :

-Si vous ne le revoyez pas c'est qu'il ne m'a pas était utile et vous ne le reverrez jamais.

Je l'entraîne sur l'estrade au loin et l'attache à une chaise.

-Qui a fais ce qu'il s'est passé aujourd'hui ? Demandais-je.

-Mais j'en sais rien ! De quoi tu parles ?

-Je te déconseille de me tutoyer, répond plutôt, ta vie en dépend.

Il perdu soudain son sourire et son air de mec supérieur.

-Euh, c'est des octalings !

J'hausse un sourcils.

-Oui elles ont dit qu'elle ne travaillait plus ici mais qu'elles étaient entrée quand même !

-Elles ont dis ça quand, où et à qui ?

Le garçon ne répondit pas.

J'attrapa mon couteau que j'avais ranger dans la poche arrière et posa la pointe sur son bras.

Il sursauta puis ne bougeais plus d'un poil, tendu.

-Répond.

-Elles sont venues la nuit dans les dortoirs, elles sont venues dans ma chambre pour nous parlez d'un "plan pour être libre"!

-Mais elles ne peuvent pas entrer si elles sont virées !

L'inkling haussa les épaules, il n'en savait visiblement rien.

-Et c'était quoi ce plan ?

Il fit non de la tête.

-Quoi ? M'exasperais-je.

-Si je le dis elles vont me retrouver et nous tuer.

-Et si tu ne le dis pas je peux t'assurer que je vais te tuer maintenant.

Il frissonna à cette idée.

Je cherche la guerre. Ou l'amour ? [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant