32~TROUBLE FÊTE(2)

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~~~PDV DEVON~~~

Je referme derrière moi après être entrer. Mais mains dans mes poches j'observe les lieux. Toujours aussi propre, bien ranger et accueillant, tout à fait le genre de la Luna. Ça doit être agréable d'avoir une femme comme elle et de rentrer le soir et sentir cette atmosphère de bien être, je soupire, la chance qu'à l'alpha, et moi je me retrouve avec un putain de chihuahua comme âme soeur, wah la chance. En parlant d'elle, Son odeur arrive à moi, je la suis jusque devant sa chambre, sans frapper j'entre, elle est dans son lit, dans un pull XXL la capuche rabattue sur sa tête son téléphone en main entrain de jouer à un jeu. Je lis de la confusion sur son visage, puis la surprise, puis la gêne

Manon : qu'est ce que tu fous ici ? Sort de ma chambre tout de suite !

Je referme derrière moi Je m'avance vers son lit, elle recule dans le lit, je m'assoie attrape sa jambe et la tire à moi, elle lâche un petit cris de surprise, je me rapproche plus prêt de son visage qui a viré au rouge, j'adore quand elle rougit, ça la rend encore plus à croquer. J'ai grave envi de mordre dans quelque chose là

Manon : T'es malade  ! sort de ma chambre tout d'suite !

Devon : sinon quoi ? Elle cherche ses mots mais ne trouve rien à répondre à ça

Manon : tu n'as pas le droit.

Devon : au contraire, j'ai tout les droit blanche neige. l'alpha m'a demandé de te surveiller, ce que sans me vanter je fais très bien. Ce soir je devais me rendre à la fête avec toi, et si tu ne veux pas sortir de cette maison je serai assigné à résidence avec toi. Mais tu vois blanche neige, moi ce soir j'ai des plans, énormément de plan, plan de me bourrer la gueule ! plan de piquer une tête avec les potes dans le lac Qui dois être glacial ! plan cul biensur ! Elle fronce légèrement les sourcils ce qui me fait sourire plan de m'éclater quoi et, ce n'est pas toi qui va gâcher mes plans.

Manon : tu peux très bien y aller sans moi.

Devon : et bien je ne peux pas, c'est ça la mauvaise blague.

Manon : putain mais pourquoi tu peux pas y aller seul et me fourre la paix une bonne fois pour toute ? Ou tu veux que je te tienne les fesses pendant que tu culbute une de tes putes ?

Devon : Hm ça pourrait être interessant ! Une expérience enrichissante ! Je lui souris pendant qu'elle rougit les yeux écarquillés

Manon : je n'irai nul part avec toi Devon. Je ne sortirai pas de cette maison, même s'il y'a le feu. Crois moi. Un sourire mesquin étire mes lèvres

Je m'approche d'elle, plus près, elle essaye de reculer mais je tiens sa jambe, elle finit par s'allonger et moi je me retrouve au dessus d'elle, à quelques centimètres de son magnifique visage, sa respiration commence à se troubler, comme à chaque fois que je me rapproche trop et merde son parfum envahi mes narines je sens que je chauffe la

Devon : si tu n'es pas prête dans dix minutes Manon murmurais je et que je suis obligé de revenir te chercher dans cette chambre, croit moi, je te le jure je me rapproche de son oreille et murmure je te baiserai tellement fort que les gens à la fête se demanderont d'où viennent tous ces cris et tous ces gémissements prenant la forme de mon prénom. Elle se crispe puis déglutit, je me redresse et là fixe, non, je fixe ses lèvres, qui m'attire

Manon : tu...tu...n'oseras pas.

Devon : Je n'oserai pas ? Tu crois ça ?

Elle me regarde droit dans les yeux, je sens son manque d'assurance partout sur elle. Tout chez elle est un appel à la luxure putain, ce visage innocent, ces lèvres roses pulpeuses, ses yeux d'un bleu azur magnifiques, ce corps parfait, cette poitrine garnie, ses hanches, tout chez elle m'attire.
Depuis que je l'ai sorti des eaux et que je lui ai fait du bouche à bouche, que je l'ai regardé ouvrir les yeux et croiser mon regard, que j'ai senti son corps mouillé de tortiller contre le mien, j'avoue, elle m'obsède un peu.
Et pour ne rien arranger, elle se mordille la lèvre inférieure. Ma mâchoire se contracte, je serre les points placés de part et d'autre de ce petit corps, je rapproche ma main de sa hanche que je saisis et serre entre mes doigts, elle inspire profondément et serre les cuisses, bordel, je ne peux m'empêcher de m'imaginer ses cuisses serrées autour de moi pendant que j'allume le feu en elle...un grognement résonne de ma gorge pendant que je la fixe, elle écarquille les yeux comme fascinée, ce regard, l'effet qu'elle a sur moi c'est dingue.
Ces derniers jours on s'est soûlé au max, elle est tellement têtue et bornée mais aussi drôle et charmante, je ne sais même pas si elle s'en rend compte. J'ai adoré chacuns des  moments passés avec elle à l'énerver, à résister à l'envie de sentir ses lèvres à nouveau s'entremêlées aux miennes.
A peine hier je n'ai pas pu me contenir devant son air énervé super mignon, parce que je l'ai poussé dans le lac, oui je l'ai poussé, parce que j'avais envi de la voir mouillée. J'ai essayé de l'embrasser, elle m'a repoussé et ça m'a frustré a un tel point. je prend une profonde inspiration, je me rapproche plus et nos lèvres s'effleurent, elle se cambre légèrement quand je desserre et resserre mon emprise sur sa hanche

LA LUNA D'UN NOUVEL ALPHA SUPRÊME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant