GOLDEN HOUR : roses et épines | Bakugo Katsuki
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Mayaki et Kaeya étaient les meilleures amies du monde, elles étaient toujours ensemble et se disaient tout. Mayaki était tout pour Kaeya. Elles se connaissaient par cœur.
Enfin, ça c'était ce que pens...
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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟏𝟏.
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Mère : Tu vas chez qui aujourd'hui ? Chez Mayaki ?
Kaeya : Non. Je vais chez un camarade de classe pour nous entraîner.
Mère : Tu rigoles ?? Et Mayaki dans tout ça ? Tu as pensé à elle ? Elle est toute seule je suis sûre ! Tu l'as invitée au moins ?
Ma mère avait placé ses poings contre ses hanches en fronçant les sourcils, des rides se formant sur son front. Elle avait l'air en colère contre moi, et ça ne m'étonnait pas. Elle devait sentir qu'il y avait un soucis par rapport à Mayaki.
Kaeya : Elle est sûrement avec Shoji.
Mère : Ce n'est pas une raison ! Et qui c'est cette amie déjà ? Je veux son numéro tout de suite !
Kaeya : Je vais chez Kirishima Eijiro, il n'habite pas si loin. Je t'enverrai son numéro sur la route.
Elle avait ouvert en grand sa bouche. Je n'avais jamais eu d'autres que Mayaki, et je n'avais surtout jamais traîné avec des garçons de mon plein grès. Elle avait de quoi être étonnée. Elle avait bégayé des mots incompréhensibles avant de se rapprocher de mon père qui nous regardait sans rien dire.
Mère : Un garçon ?? Mon chéri rattrape moi je vais faire une crise.
Elle avait fait semblant de tomber dans les pommes et mon père avait ri avant de la rattraper. Elle s'était relevée et elle avait repris son sérieux.
Mère : Mayaki ne peut pas venir avec vous ? Elle serait si bien avec vous je suis sûre !
Mon père avait secoué la tête en soufflant discrètement avant de poser sa main sur son épaule.
Père : Chérie laisse la tranquille. Mayaki n'est pas sa seule amie et c'est une bonne chose ! Arrête de l'embêter et viens regarder la télé avec moi.
Mère : Hum-...tu as raison. La prochaine fois invite Mayaki, elle me manque tu sais. J'espère qu'elle va bien.
Ma mère avait soupiré lassement dans le salon où l'attendait mon sauveur, mon père. Elle avait l'air quand même déçue de ne pas me savoir avec mon ancienne meilleure amie mais je n'y pouvais rien. J'avais soufflé de soulagement, j'étais enfin débarrassée de ma mère qui ne faisait que me parler de Mayaki. Mon père m'avait souri une dernière fois avant de s'occuper de ma mère.
J'avais enfilé mes chaussures et avais pris une veste assez grande qui appartenait à mon père avant de partir. Il faisait un peu frais ce jour-là alors je devais me couvrir un peu plus que d'habitude. Surtout que j'avais une simple tenue de sport en dessous de cette veste. J'avais pris mon sac où dedans se trouvait une tenue de rechange pour éviter de me balader en tenue de sport après avoir suer.
