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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍 𝐇𝐎𝐔𝐑 |

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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍 𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟑𝟐.









Katsuki : Tu n'as pas d'allergies hein ?

Kaeya : Non, aucune. Et je ne suis pas difficile si ça peut te rassurer.

Katsuki : Ok.

Il avait enfoncé nonchalamment ses mains dans ses poches en regardant la route. II n'était pas très bavard, comparé à d'habitude en tout cas. Mais ça ne me dérangeait pas et je ne sentais rien de bizarre emmener de chez lui, il devait juste être fatigué, ou peut-être qu'il stressait autant que moi j'étais en train de le faire ? Oui, rencontrer sa famille me stresser plus que je voulais l'avouer à mon copain. Est-ce qu'ils savaient que lui et moi étions ensemble ? Et est-ce qu'ils étaient aussi barges que lui ? Je ne savais pas et je n'osais pas demander. J'avais baissé la tête sur mes pieds en m'empêchant de torturer mes pauvres doigts qui n'avaient rien demandé. J'avais enfoncé ma tête dans le col de ma chemise, préférant me plonger dans mes pensées sans rien dire.

J'avais senti les yeux rouges du blond se poser sur moi et je l'avais même entendu claquer sa langue contre son palais avant qu'il prenne enfin la parole.

Katsuki : Oi. Arrête de trop penser imbécile.

Ça ne servait à rien de nier, de toute façon ça se voyait sûrement comme le nez en plein milieu de la figure. J'avais esquissé un sourire timide en relevant légèrement la tête.

Kaeya : Plus facile à dire qu'à faire.

Il avait tapé mon front avec ses doigts en soupirant.

Katsuki : C'est que mes vieux, ils sont chiants mais ça va. Ma mère aboie juste.

J'avais souri en l'entendant. Aboyer ? Ça me rappelait étrangement quelqu'un tiens. Comme un certain blond colérique aux yeux rouges juste à côté de moi. J'avais gloussé en le regardant discrètement. Autant faire de l'humour pour détendre l'atmosphère.

Kaeya : Elle aussi c'est un chihuahua ? Je vois d'où ça vient alors !

Il s'était tendu et il avait tourné sa tête vers moi avec précipitation, ses yeux me lançaient des éclairs et je savais qu'il m'insultait dans sa tête. Peut-être même qu'il préparait déjà ma mort vu sa gentillesse et sa délicatesse. J'avais souri innocemment en le regardant et il m'avait pointée du doigt en fronçant les sourcils.

Katsuki : Toi.

Kaeya : Moi ? Oui ?

Il avait replié son doigt et avait enfoncé sa main dans sa poche avec colère en faisant la moue, à sa façon bien sûr. Il avait toujours cet air frustré sur le visage et ses sourcils étaient restés froncés.

Golden Hour | 𝐁𝐚𝐤𝐮𝐠𝐨 𝐊𝐚𝐭𝐬𝐮𝐤𝐢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant