GOLDEN HOUR : roses et épines | Bakugo Katsuki
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Mayaki et Kaeya étaient les meilleures amies du monde, elles étaient toujours ensemble et se disaient tout. Mayaki était tout pour Kaeya. Elles se connaissaient par cœur.
Enfin, ça c'était ce que pens...
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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟐𝟔.
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Denki : Quoi !? Non ! Vous ne pouvez pas me faire ça !
Denki avait jeté ses bras en l'air en se laissant lamentablement tomber sur le sol. J'avais retenu un rire en le voyant et Hanta, lui, ne s'était pas gêné de le faire. Mayaki avait posé un +2, Toru avait posé un +2 à son tour, Tsuyu avait fait de même, Katsuki avait posé deux +2, Eijiro avait suivi le mouvement, Kyoka avait imité tout le monde, Hanta aussi et j'avais fait de même en déclarant que j'avais UNO.
Il s'était retrouvé à devoir piocher 16 cartes car il n'avait pas de +2 ou de +4, pauvre Denki. Il ne voulait pas piocher alors Hanta avait pioché à sa place pour mettre les cartes devant le blond qui se plaignait de son sort.
Denki : Je vous déteste tous !
Eijiro : Mec ne fais pas le mauvais joueur et accepte ton sort ! Et peut-être que tu pourras te venger avec tes nouvelles cartes, qui sait !
Le rouge avait haussé les épaules innocemment et Denki avait retrouvé son sourire en prenant sans douceur les cartes qui étaient devant lui. Il avait souri et ri diaboliquement en marmonnant tout bas qu'il allait nous faire regretter toutes ces cartes. J'avais secoué la tête et il avait décrété qu'il voulait jouer même s'il avait pioché, ayant pitié de lui, on avait tous accepté qu'il joue. Il avait déposé une carte "sens inversé" et il m'avait lancé un regard rempli de malice. J'avais ignoré et lui avais montré ma dernière carte, que j'avais déposé en déclarant que j'avais fini et que j'étais la gagnante.
Denki : ...Je voulais me venger..
Kaeya : Tu étais tellement désespéré que tu ne m'as pas entendu dire UNO quand je t'ai posé le plus deux. Une autre fois peut-être.
Denki : J'y crois pas.. moi qui pensais faire un coup de maître.
Mayaki avait ricané en cachant le bas de son visage avec ses cartes et elle avait montré du doigt le blond qui regardait ses cartes, presque tristement. Il ressemblait à un enfant et il était vraiment mignon comme ça.
Mayaki : Tu ne peux pas gagner au UNO contre Kaeya, et tu ne peux pas nous battre tout simplement, tu ne réfléchis pas assez.
J'avais froncé les sourcils en la regardant de travers avant de regarder de nouveau mon ami qui avait eu l'air surpris avant de sourire maladroitement. Il avait eu un petit rire forcé et avait détourné le regard.
