GOLDEN HOUR : roses et épines | Bakugo Katsuki
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Mayaki et Kaeya étaient les meilleures amies du monde, elles étaient toujours ensemble et se disaient tout. Mayaki était tout pour Kaeya. Elles se connaissaient par cœur.
Enfin, ça c'était ce que pens...
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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟔.
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J'avais fini par rire avant de terminer mon repas pour sortir de table avec tout le monde. J'avais parlé avec Momo, Kyoka et Sero jusqu'à notre salle de classe. Mayaki y était déjà.
En rentrant, je lui avais offert un sourire qu'elle m'avait rendu mais je l'avais sentie un peu amère envers moi. Je ne m'étais pas installée tout de suite, on s'était tous retrouvés autour de la table de Bakugo pour parler un peu. Enfin, ils parlaient et j'écoutais.
Ils avaient toute mon attention jusqu'à que j'entende de nouveau ma meilleure amie pleurer en partant en courant suivie de près par Todoroki qui avait demandé à Shoji de rester à sa place. Il se passait quoi là ? J'avais raté quelque chose ?
Kaeya : Il vient de se passer quoi exactement ?
Sero : J'en ai strictement aucune idée.
Kaeya : Je ne sais pas si c'est-
Bakugo : AU PIRE ON S'EN FOUT DE SA GUEULE NON ?
J'avais soufflé en secouant légèrement la tête, ne pouvant pas m'empêcher de m'inquiéter et de froncer les sourcils.
Kaeya : Pas trop non.
Bakugo : T'ES VRAIMENT DÉBILE MA PAROLE !
Kaeya : Je sais mais toi, en attendant, tu ne peux pas comprendre, tu n'aimes personne de ce que je vois.
Denki : Et c'est reparti...
Momo : Ça ne s'arrêtera jamais.
Kyoka : ...C'est drôle.
Sero : J'aime bien moi, ça rajoute un petit truc pour éviter qu'on s'ennuie !
Kirishima avait pincé ses lèvres entre elles avant de souffler.
Kirishima : Après c'est moi qui dois retenir Bakugo...un peu de calme ne fait pas de mal non ?
Je les entendais parler entre eux pendant que Bakugo et moi faisions une bataille de regard. Le premier qui clignait des yeux était un juste une énorme merde-..J'avais perdu. J'avais un peu râlé pendant qu'il me regardait en mode "Je suis le meilleur, va te faire foutre maintenant".
Une tape sur mon épaule m'avait fait reprendre mes esprits et je m'étais retournée en reprenant mon air calme habituel. Shoji était devant moi, le visage un peu sombre.
