GOLDEN HOUR : roses et épines | Bakugo Katsuki
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Mayaki et Kaeya étaient les meilleures amies du monde, elles étaient toujours ensemble et se disaient tout. Mayaki était tout pour Kaeya. Elles se connaissaient par cœur.
Enfin, ça c'était ce que pens...
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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟐𝟕.
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Je ne savais plus depuis quand j'étais là à pleurer mais mes yeux me piquaient encore plus et mon mal de tête s'intensifiait encore et encore. J'avais entendu la porte de la chambre s'ouvrir et j'avais eu peur quelques secondes qu'elle soit revenue avant de reconnaître les pas lourds de mon ami blond. Il était accompagné, il y avait une autre personne, sûrement Eijiro. Ils étaient toujours collés.
Ils s'étaient installés à côté de moi en silence et j'avais essayé de me faire plus discrète. Je ne voulais pas qu'ils m'entendent. J'avais senti une main sur le haut de mon crâne et j'avais levé la tête avec hésitation vers celui qui avait fait ça. Eijiro m'avait souri et avait caressé avec douceur le haut de ma tête. Mes lèvres avaient tremblé et j'avais baissé les yeux sur mes chaussettes.
Katsuki : Je déteste cette Tamakaki ! Elle m'énerve, je vais l'exploser !!
J'avais secoué légèrement la tête en essayant de faire comme si je n'avais pas tant pleuré.
Kaeya : Ce n'est rien, ne vous inquiétez pas. Ne lui faîte rien, c'est ce qu'elle cherche.
Eijiro : Ce n'est pas rien. Tu peux pleurer avec nous Kaeya. On-
Je l'avais coupé en chuchotant.
Kaeya : Je suis désolée. Je vous cause du soucis, je suis vraiment désolée.
Ma voix avait craqué à la fin et j'avais senti le bras de Katsuki passer sur mon dos pour me tirer vers lui. Eijiro avait enlevé sa main de mes cheveux et Katsuki avait poussé avec une douceur étrange ma tête sur son épaule en soufflant.
Katsuki : Ne t'excuse pas, tu ne nous causes aucun soucis. C'est Tamakaki qui fait que des conneries.
J'avais baissé les yeux sur mes mains en acquiesçant même si je n'étais pas convaincue, je me sentais fautive de tout. Sûrement à cause de tout ce que m'avait dit Mayaki juste avant. Eijiro s'était penché vers moi en me souriant chaleureusement.
Eijiro : Hanta s'est inquiété car tu mettais du temps à revenir et on a remarqué que Tamakaki n'était plus sur le canapé, on s'est inquiété aussi à ce moment.
Il avait posé sa main sur la mienne et s'était assis correctement en face de moi.
Eijiro : On est arrivé trop tard mais je te promets qu'elle ne te fera plus rien. On veillera encore plus sur toi, tu es ma petite protégée et surtout une amie à qui je tiens énormément. Katsuki tient aussi à toi, et tu te doutes bien qu'avec lui, elle ne t'approchera pas. Il fait peur quand il veut !
