GOLDEN HOUR : roses et épines | Bakugo Katsuki
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Mayaki et Kaeya étaient les meilleures amies du monde, elles étaient toujours ensemble et se disaient tout. Mayaki était tout pour Kaeya. Elles se connaissaient par cœur.
Enfin, ça c'était ce que pens...
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𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍𝐇𝐎𝐔𝐑 | .𝟑𝟑.
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Katsuki : Grognasse, réveille toi.
J'avais émis une plainte en me tournant de l'autre côté. La main du petit con qui était en train de me réveiller m'avait secouée encore plus et j'avais râlé en ouvrant lentement les yeux. J'allais lui faire manger le sol s'il continuait. J'avais plissé des yeux en faisant face à la lumière du jour qui envahissait sa chambre. J'avais roulé sur le côté pour lui faire face et avais tiré sur le haut de son col. J'avais grimacé en me relevant sur un bras et il avait froncé les sourcils. J'étais de mauvaise humeur. Me secouer n'était pas la bonne chose à faire.
Kaeya : La prochaine fois je te réveillerai avec une claque dans la gueule si tu me secoues encore comme ça.
Il avait claqué sa langue contre son palais avant d'enlever ma main de son col. Il s'était relevé, un sourire moqueur sur les lèvres. J'avais frotté mes yeux avec mon avant bras et m'étais relevée complètement pour finir assise sur le bord de son lit. J'avais étrangement bien dormi, sûrement car j'avais été avec lui. Mais j'étais quand même fatiguée. J'avais baillé en étirant mes bras.
Katsuki : Allez, bouge ton cul de mon lit. Le petit-déjeuner est prêt.
Il avait détourné le regard de mes jambes et s'était retourné jusqu'à son armoire en grognant. Il avait ouvert un tiroir et m'avait lancé au visage un short marron clair. J'avais fermé les yeux en sentant le tissu contre ma tête et avais regardé le short avec curiosité, mes cuisses le perturbaient tant que ça ? J'avais roulé des yeux en pouffant et m'étais levée alors qu'il s'était retourné de nouveau. J'avais mis le short et avais tapoté son épaule.
Kaeya : Je déteste qu'on me secoue, c'est ce que faisait Mayaki. Désolée d'avoir été méchante.
Il avait haussé les épaules et avait mis ses mains dans les poches de son pantalon de pyjama. On avait entendu la mère de Katsuki nous appeler et on était descendu tous les deux sans trop parler. Comme à notre habitude. J'avais salué sa mère qui venait de servir le dernier pain grillé sur une assiette. Katsuki avait juste levé les yeux vers elle sans lui dire bonjour et elle avait soupiré en roulant des yeux. Elle avait chuchoté pour elle-même en se retournant vers le frigo.
Madame Bakugo : Idiot.
Je m'étais installée à côté de Katsuki et il m'avait tendu son assiette sans rien dire. Je l'avais regardé, un peu perdue. Il avait peur que je meurs de faim ? J'avais déjà une assiette après tout. Je l'avais fait glisser vers lui et il s'était tourné vers moi en fronçant les sourcils.
