L'art notre échappatoire

Pétasse

PDV Cassy :

Ça fait 15 jours que j'ai mon tatouage maintenant et je l'adore, je suis en train de voir avec Cole pour en faire deux autres. Il me montre plusieurs croquis, l'un sera sûr en dessous de la poitrine, deux mots en dessous du sein gauche Dany et le droit Mia Dea. Je vous explique, en fait, non, je n'ai pas d'explication de je veut juste l'avoir sur moi. Le deuxième, plutôt troisième est une colombe pour l'enfance que je n'ai pas eue, elle sera sur ma cuisse gauche.

- Bon, les croquis te plaisent ?

- Ils sont magnifique Amour.

Cole commence à préparer son matériel et me tatoue, on en à eu pour la journée. Là, on joue avec Dany au jeu vidéo, bon, je suis nul et ce n'est pas nouveau. L'heure de dormir pour Dany arrive, une fois à coucher, on reprend la partie. Bon, je fais que perde ce qui fais rire Cole.

- Mia Dea, je crois que t'es plus douée pour l'art que les jeux.

- Crois-moi, je sais très bien jouer Amour.

Son regard devient brûlant et son torse bouge plus vite que d'habitude, ma remarque a eu l'effet escompté, j'en profite pour jouer et je gagne.

- Ouiiii.

Je reçois un coussin en pleine gueule et tombe sur le canapé.

- Tricheuse.

-Ne boude pas, je n'ai fait que dire la vérité et tu le sais.

- Je sais surtout que tu n'es pas la seule à savoir jouer.

- Ha oui.

- Tu veux une démonstration peut-être.

- Je ne préfère pas, j'ai peur d'être déçu.

Cole se rapproche de moi et m'embrasse, je monte sur lui à califourchon et l'embrasse plus passionnellement, ses mains glisse sous mon haut et caresse mon dos, le souffle haletant, il commence à mordiller mon cou, alors qu'il allait enlever mon haut, la sonnerie retentit. Cole souffle de frustration et se dirige vers la porte prêt à gueuler contre la personne qui a coupé notre moment. Mais se ravise en ouvrant la porte, je m'approche pour comprendre son changement de réaction. Nina se trouve sur le bas de la porte en larmes, elle se réfugie dans les bras de Cole. Je referme la porte et on rejoint le salon, une fois assis Nina viens se caler dans mes bras.

- Marie, c'est une putain de pute.

Avec Cole, on échange un regard, on s'en doutait un peu.

- Pourquoi ? Explique-nous.

- Si elle s'est rapprochée de moi, c'est seulement pour t'approcher, elle travaille pour Rasty.

Quoi ? Cole est tout autant choqué que moi, alors oui, on se doutait qu'elle cachait quelque chose, mais pas à se point. Putain maintenant, il engage des gens non mais c'est quoi ce bordel, ça fait deux en faut qu'il passe à autre chose.

- Comment tu le sais ?

Elle renifle et essuie ses larmes. La voir dans cet état me brise le cœur, putain, comment elle a pu jouer avec son cœur.

- On était chez moi, vous vous rendez compte, je l'avais présenté à ma mère. Du coup, on était dans le canapé et ma mère lui à proposer de cuisiner, j'allais la rejoindre quand son téléphone, c'est mis à vibrer, j'ai regarder par curiosité et c'était un message de Rasty. J'ai donc ouvert la conversation, je l'avais vue faire son code plusieurs fois, quand j'ai lu les messages, le monde, c'est effondrais son mes pieds, j'ai fait une capture d'écrans, et je me l'ai envoyé. Après, je l'ai viré de chez moi. Regardez.

Cole se déplaça derrière moi, le téléphone en main, on commence à lire la conversation.

Rasty :

" Bon t'as fini de taper la folle, t'as des informations ?"

Marie :

" Non pas encore, ils se méfient de moi, et l'autre ne fais que me coller. "

Rasty :

" Dépêche-toi, je veux voir Cassy tomber, elle et sa petite famille."

- Putain de merde, mais quel connard et elle putain la pute.

- Je ne te le fais pas dire Tao, je croyais vraiment qu'il se passait un truc entre nous.

- Viens là.

Nina vient dans mes bras et on reste tout l'aprem comme ça a décider de ce qu'on allait faire. Une fois, le plan prêt, Nina est restés dormir à la maison. Une chose est sur c'est que c'est lui qui va tomber.

PDV Tao :

Avant que Nina n'arrive, on a failli aller trop loin, je me suis laissé aller. Si... Si elle n'était pas arrivée, ça aurait tout caché. Je ne veut pas qu'elle les voit, si ça arrive, je ne le supporterai pas.