Maxime...

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PDV Tao :


Non, non, je n'ai pas pu faire ça, je ne voulais pas non, putain. Si si elle apprend pour ça, elle voudra savoir le reste et ça non jamais. Je ne veux pas la perdre pour ça.


- Tao...


Sa voix tellement douce, me donne des frissons. Je me lève et vais l'embrasser sur le front mia Dea je vais sortir un moment d'accord, je reviens.


- Mais Ta...


- Non ma jolie pas maintenant.


PDV Cassy :


Après m'avoir envoyé boulet encore une fois, il part en m'adressant un sourire sans une once de joie.


Ça fait deux heures que j'attends qu'il rentre, mais non il n'est toujours pas revenu. Endormi dans le canapé, un claquement de porte me réveille.


-Cassyyyyy mia Dea, au mon cœur comment tu fais pour rester auprès de moi.


- Tao qu'est ce que tu racontes.


Je me lève et m'approche, et putain, il pue l'alcool. Je haie l'alcool, mon pauvre pourquoi tu t'es mis dans un état comme ça.


- Cole pourquoi t'as autant bu ?


- Au non mia Dea ne m''appelle pas comme ça, je t'en supplie, je préfère quand tu m'appelles amour.


- Tao, je t'ai appelé qu'une seule fois comme ça.


- Et putain, tu m'as fait bander à ce moment.


Mes joues virent au rouge. Putain, il ne peut pas être sérieux cinq minutes.


-Bon vient amour, on va dormir.


- Tu dors avec moi mia Dea.


- Tu veux ?


Il hoche la tête et détourne le regard. Une fois l'avoir lavé et mis dans son lit, je fais de même. Cole m'attire dans ses bras.


-Dit Cole, amour tu...Tu veux bien me parler de Maxime.


- Mia Dea, pourquoi tu profites du fait que je sois bourrer putain.


-Amourrrrr.


- Tu veux vraiment en parler maintenant, tu ne veux pas qu'on dorme plutôt ?


Cole me regarde puis se relève sur les coudes puis souffle et relève le regard dans ma direction.


- Maxime, c'est, c'était mon petit frère. Mes géniteurs n'ont jamais eu comment dire, le côté paternel ni maternel. Un gosse ça n'as pas suffit, ils en ont fait un autre.


Il détourne son regard, je vois une larme dévaler sur sa joue, il l'essuie avec rage et continue son discours.


- Mes géniteurs étaient violents et surtout sans cœur. Un soir, alors qu'ils me tabassaient encore une fois, mon frère qu'il n'avais que quatre ans, c'était réveiller et est venu au mauvais moment. Alors mon géniteur s'est dit que ça serait plus drôle de se défouler sur Maxime. Mais... Mais...


Il se lève et fais les cent pas dans la chambre avant de se poser dans le coin de la chambre et de se recroqueviller sur lui-même. Je me lève donc à mon tour et attrape un carnet avec deux crayons et m'installe entre ses jambes et lui donne un crayon et ouvre le carnet.


- Amour, on va dessiner et quand tu le sentiras, tu continueras, on pourra dessiner et parler en même temps d''accord.


Il m'embrasse le coup et me sourit contre celui-ci. Il commence à dessiner et reprend, peut a peu sa respiration.


- Maxime.... Maxime avait cette lueur dans le regard ce jour-là elle avais disparu et Maxime avec. Après ce jour-là, j'ai commencé à répondre et ils ont...


Son crayon, c'était arrêter et des larmes se sont écraser sur les pages. Je tourne la tête en sa direction et des lèvres chaudes s'écrasent sur les miennes, mes yeux s'écarquillèrent. Il était en train de embrasser putain, c'est magique. Mais il était bourré et sur le coup de l'émotion, je le repousse.


- Putain mia Dea , ne me repousse pas, je t'en supplie, j'en ai besoin.


- Amour, t'es bourré, tu vas regretter.


Il reprend lassos dès mes lèvres et m'embrasse fiévreusement. Il ressert son emprise sur mes hanches et me fait basculer sur lui. Il se relève avec moi et me dépose sur le lit.


- Mia Dea, je rêverai de te faire tellement de choses, mais je ne veux pas que tu penses que je regretterai donc on verra cette partie une prochaine fois quand je n'aurais pas bu. Donc on va se contenter de dormir. Jolie cœur vient dans mes bras.


J'avoue que là, je voulais plus, mais il a raison, je m'installe dans ses bras.


- Tu sais que j'ai compris que tu ne m'avais pas tout dit.


-Joli cœur, je te dirais peut-être la suite, mais pour l'instant, je veux juste m'endormir dans tes bras.


Bon, j'aurais la suite peut-être plus tard.

L'art notre échappatoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant