𝐋𝐀 𝐃𝐀𝐑𝐊𝐒𝐊𝐈𝐍 [en réécriture]

3.7

Anamala

Le soleil venait de se coucher et nous étions tout les deux posés sur un banc, nos mains entrelacées. Mes yeux ne cessaient de briller en sa présence et je ne pouvais m'arrêter de sourire. Il dépose sa tête sur mon épaule et se met à rire.

— j'arrive pas à croire que tu te sois échappée du dîner de famille pour être à mes côtés. Il déclare.

— mes cousines me couvrent et c'était pour la bonne cause non. Je lui réponds après lui avoir ébouriffé ses cheveux.

— ANA'. Il hurle après s'être assis.

Il m'ébouriffe mes cheveux et commence à mes chatouiller. Il sait que je déteste les chatouilles et il aime en jouer là-dessus. Peu après, il me porte comme une princesse et me fait tourner.

— crois moi Ana' tu ne regretteras pas d'être à mes côtés. Il m'avoue en me regardant.

— je perds déjà mon temps à être à tes côtés alors que ma famille m'attend imbécile

— si tu veux que je touche à ta sensibilité ne me cherche pas trop

— ha ouais ... j'aimerais bien voir ça mais saches qu'un jour je saurais ton point faible et tu feras moins le malin. Je dis après avoir sourit.

— tu es pas très futée mais continue à espérer ma petite

— hé ! Je suis pas ta petite. Je m'exclame après lui avoir tapé légèrement l'épaule.

— aïe mais pourquoi tu aimes tant me frapper je suis censée être ton petit copain. Dit il en faisant mine de bouder.

— Hoo mon petit bébé il boude c'est ta passion de râler pas grave j'ai la solution

— et c'est quoi ta solution médecin Anamala ? Il me demande, curieux de ma réponse.

Je met mes mains sur son visage puis je l'embrasse. Il semblait heureux.

— je suis pas satisfait désolé. Il dit en réclamant un autre bisou.

— hé bah tant pis pour toi car les bisous d'Anamala soignent tout. Je lui réponds en lui faisant un clin d'œil. Il est temps de rentrer nos familles nous attends

Il me fait descendre et regarde son téléphone avant de le ranger. Il vient mettre ses mains sur mes hanches pour nous rapprocher et coller nos visages.

— Joyeux Noël Anamala. Il déclare, le sourire aux lèvres.

— Joyeux Noël Ross. Je déclare à mon tour avant de l'enlacer.

***

— tu as de la chance d'avoir de merveilleuses cousines qui couvrent tes petites fesses pour aller voir ton mec de riche ma belle. S'exclama Jemina.