Scott McCall's Sister.

~ Chapitre 43 ~

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DANS LES SOUVENIRS DE REBECCA :

PDV REBECCA :

J'ouvris doucement les yeux et l'endroit où je me trouvais était sombre . J'y voyait à peine où je mettais les pieds.

L'endroit était glacial, je croisai mes bras afin d'avoir un peu chaud.

Je continuai de marcher, tout droit jusqu'à ce que j'aperçoive une petite lumière .

Plus j'avançais, plus la lumière se faisait de plus en plus forte . Je me mis à courir et atterris dans une chambre que je ne reconnus pas de suite...

Je regardai autour de moi et reconnu peu à peu la pièce dans laquelle je me trouvais . C'était ma vieille chambre, dans la maison de papa, à San Francisco.

Je me baladai dans cette chambre, où autre fois je venais m'y réfugié quand papa et moi nous disputions...

La plus grosse dispute que nous avions eu papa et moi, c'était quand il essayait encore de contrôler ma vie . À cette époque, je venais de me disputer avec mon ancienne amie, Aubrey. On s'avait rencontrer dans un camp d'été elle et moi. Jusqu'à - ce que celle-ci déménage à l'étranger et qu'on arrête de prendre contact du jour au lendemain.

J'étais de plus en plus de mauvaise humeur.

Cette dispute avec mon père me hante encore, car ce que je lui ai dit était sans doute la pire chose qui soit . :

« -" Laisses - moi tranquille !!! J'en ai assez que t'essaies de me contrôler ! " criai - je .

« -" Rebecca ! " m'appelle mon père, la colère grondant presque dans sa voix .

-" Non ! J'en ai assez t'entends ! Je vais chez maman et je ne veux plus jamais te revoir ! Je te déteste tu m'entends !? Je te hais ! " répliquai - je presque avec haine .

Mon père me regarda et je vis un voile de tristesse traverser son regard. Mais ce fut vain et cette tristesse fut remplacée instantanément par de la colère .

-" Très bien ! T'iras chez ta mère et tu ne me reverras plus ! " Rétorqua celui-ci avec colère .

Je montai dans ma chambre et préparai mes affaires . Je mis mes vêtements dans la valise ainsi que mes effets personnels dans mon sac.

Une fois ça finit, je pris ma veste, l'enfilai et descendis les escaliers, ma valise en main et mon sac sur le dos .

Mon père m'attendais dans la voiture .

Je mis mes affaires dans le coffre, puis je rentrai sans un mot dans la voiture .

J'étais toujours en colère . Je ne jetai aucun coup d'œil à mon père et mis mes écouteurs afin de l'ignorer .

Cette nuit - là, était celle de l'accident de voiture . »

Quand je me souvins de ce moment, une larme coula le long de ma joue. Je regrettai les paroles que j'avais dites à mon père ce jour - là.

Une autre lumière m'engloutis et je fus emportée dans un autre souvenir :

« Une petite fille était dans un parc, assise sur une balançoire . C'était moi.