Scott McCall's Sister.

~ chapitre 58 ~

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-" C'est... C'est Stiles ! Il... Il est en vie ! " répéta Lydia, tenant toujours mon téléphone dans ses mains .

Je ne savais pas quoi dire... J'avais déjà entendu ce prénom quelques part mais je ne savais plus où...

-" C'est qui Stiles ? " demanda soudainement Malia .

Lydia lui lança un regard comme si cette dernière était devenue folle .

-" Comment ça « c'est qui Stiles » ?! " dit Lydia, sous le choc .

Elle se tourna vers nous .

-" Rassurez - moi... c'est une blague hein ? Vous, vous avez pas oublié ? C'est totalement impossible de l'oublier ! " dit-elle en nous regardant, implorant .

Je ne savais pas quoi dire . Moi même étais perdue.... Comment puis-je oublier ce garçon prénommé Stiles ? Étions - nous proche ?

-" Mon ange ? " chuchota doucement Théo en mettant ses bras autours de moi, collant mon dos contre son torse .

-" Hm ?" Dis-je à moitié plongée dans mes pensées .

-" Je sens ton agitation intérieure... T'es sûre que ça va ? " demanda Théo .

J'hochai doucement la tête .

Il enfouit son visage dans mon cou et y dépose un tendre baiser, ce qui m'apaisa .

- " On reprendra nos recherches demain, en attendant, je pense qu'on a tous besoin de repos . " affirma Scott .

Scott, Théo et moi sortîmes de chez Lydia et nous dirigeâmes vers la maison .

Je voulus rester avec les filles mais Malia me força de rentrer, prétextant que je ressemblais à une zombie avec mon manque de sommeil .

***

Une fois rentrés avec les garçons, je montai direct dans ma chambre, voulant désespérément atteindre mon lit .

Je me jetai direct sur ce dernier, en échappant un long soupir, ce qui fit rire Théo, qui s'affala près de moi a son tour .

Allongée sur le dos, je fermai les yeux un court instant et soupirai d'aise .

Je sentis le lit bouger légèrement et sentis un souffle contre mon visage .

J'ouvris paresseusement les yeux et rencontrai le regard sexy de Théo, me souriant en coin .

-" Tu ne croyais quand même pas que je n'allais pas achever là où on s'est arrêté ? " dit-il approchant dangereusement son visage de mon cou .