Chronique de Sheryane : Jusqu'à ce que l'Jennah nous unisse.

Chapitre 6

Sofiane : oublie pas de m'envoyer un message quand t'arrive la miss

Moi : ne m'appelle pas la miss et oui t'inquiète pas je t'envoie un message

Sofiane : vasi à demain insha'الله

Moi : à demain insha'الله
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Je rentre chez moi je lui envoie un message pour lui dire que je suis bien arrivé, puis je fait ma routine à la maison avec ma mère. Je vous passe deux semaines il s'est rien passé de ouff, je parlai de temps en temps avec mes frères et mon père ( il a prolongé son séjour au bled ), Sofiane venez tout les jours pour m'amener et me récupérer du lycée, d'ailleurs on s'entend super bien, on rigole, on se taquine mais voilà ça s'arrête là . Parfois ils faisaient quelque crise quand je parlais à un gas de ma classe qui s'appelle Ayoub.

Flashback

Ayoub : * en sortant du lycée * t'oublie pas de m'envoyer un message pour le cours de philo !

Moi : wé t'inquiète pas

Ayoub : bon vasi la miss à plus !

J'avais complètement oublié qu'on était devant le lycée donc sofiane avez vue et entendu, en soit c'est juste un camarade de classe mais ça passait pas avec Sofiane. Je le vois sortir de la voiture et venir super énervé vers Ayoub et moi .

Sofiane : tu fais quoi avec elle p'tit fdp

Ayoub : pk tu cherche !?

Sofiane : je vais pas répéter! Tu ne l'approche plus t'a compris ! Ou je vais te faire regretter ta naissance.

Sofiane : Sheryane c'est qui lui ? !

Il était tellement énervé que j'arrivais à peine à parler.

Moi : c'est ... c'est un cam...

Ayoub : * en le coupant la parole * c'est ma future mra, tu veux quoi toi ?

Quand il a dit ça Sofiane a vu rouge, il lui a mis un gros coupe de poing dans la geul. Je sais même pas pk il avait dit ça en plus.

Sofiane : ose redire que c'est ta futur mra et je te ni*** ta race ! Et de deux y'a que m'ois qui l'appelle la miss !

Ayoub : c'est bon désolé je savais pas que .... Genre...t'es avec elle . Fin bref laisse tomber

Sofiane : * en le tenant par le col * approche là encore une fois et tu sera mort !

Fin du flashback

Si non Il n'y a rien de plus entre nous, enfin rien jusqu'à ce jour que je n'oublierai jamais, c'est ce jour là, que j'ai réalisé que ce sentiment étrange que j'avais ressenti lorsqu'il avait mis son bras autour de mon cou c'était peut-être le début de ce qu'on appelle l'amour.

On devrait un être jeudi si je me souviens bien, commme d'habitude Sofiane devait me récupérer à 17h mais ce jours là j'ai fini à 15h, du coup j'ai commencé à marcher vers le cartier, je voulais pas déranger Sofiane à cette heure ci. Mais plus j'avance et plus je m'approchais d'un silhouette qu'il m'était familière. Je m'avance encore un peut pour être sûr, et là je vois QUI ? Sofiane avec une meuf en train de rigoler et elle lui caressait les cheveux. J'étais choqué, pourtant il m'a dit que c'était pas trop son truc les meufs. L'es l'arme ont commencé à montrer mais je comprenais même pas pk puisque en soit on se doit rien, on est juste très proche. Je crois que de le voir avec une autre meuf et aussi proche ça m'a comme rendu jalouse, mais j'ai jamais ressenti ça au paravent. Je décide alors de m'asseoir sur un banc de l'arrêt de bus qui était pas loins, puis j'ai appelé Sofiane.

APPELLE

moi : Salem Sofiane ça va ? J'espère que je te dérange pas ? * d'un ton très sec *

Sofiane : Aleykoum Salem la miss, ça va el hamduli'الله et toi ?

Moi : ça va el hamduli'الله

Sofiane : mais pk tu m'appelles maintenant, tu devais pas finir à 17h

Moi : ok je te dérange ?

Sofiane : non pas du tout, mais ça va t'a l'aire bizarre, y'a qqc qui va pas ? Qqn ta touché. Sheryane je te jure que si qqn t'a touché je l'enterre vivant, personne te fera du mal temps que je serait là.

Lorsqu'il m'a dit ça, les larmes sont remontées.

Moi : non t'inquiète pas j'ai fini plus tôt, le prof est malade, tu peux venir me chercher je suis à l'arrêt de bus juste à côté du lycée.

Sofiane : vasi j'arrive dans 5 min.

FIN DE L'APPEL

J'étais pas bien, je crois que je commençai a m'attacher à lui, c'est vrai que lorsque je suis avec lui j'oublie tout, je me sent en sécurité dans ses bars ( oui parce que ça nous arrivait de se faire des câlin) . J'aurais pensé que lui aussi ressentirait un minimum de sentiments pour moi vue comment qu'il se livrait à moi, me regardait, faisait des crises de jalousie quand je parlais ou rigolais avec un autre gas que lui. Mais bon a croire que tout ça n'est qu'illusions et qu'il fait juste ce que mes frères lui ont demandé de faire, à savoir veiller sur moi et me protéger pendant leur absence.

Au bout de meme pas 5 min il était arrivé, il baisse sa vitre.

Sofiane : allez la miss monte

Moi : ...

Je monte dans le plus grand des calmes et cale ma tête contre la vitre.

Sofiane : Sheryane y'a quoi zebi, t'es bizarre, tu parle pas t'es toute pâle

Moi : t'inquiète pas je suis juste fatigué

Sofiane : tu te fou de ma geul Sheryane ? Je sais que ça va pas

Moi : ET COMMENT TU PEUX LE SAVOIR ?

Sofiane : ba avec ce genre de réaction *il prend mon visage et le tourne face à lui en me regardant dans les yeux * Sheryane les yeux ne mentent pas, je l'ai directement vue que t'allais pas bien, même quand tu m'a appelé t'étais bizarre. Je veux pas te voir comme ça.

J'ai baissé le regard, j'arrive pas à le regarder dans les yeux c'est trop déstabilisant. J'ai pas pu me retenir et je me suis effondrée en larmes.

Sofiane : putin Sheryane ta quoi stp, pk tu pleure.

Il me prend dans ses bras et sèche mes larme avec sa mains.

Moi : rien t'inquiète pas c'est juste que mon père et mes frères commence à me manquer, ils ont jamais été tous aussi loin de moi. ( gros mytho )

Sofiane : pleur pas Sheryane je veux pas te voir comme ça . * en me faisant un bisous sur le front et en caressant mes cheveux *

J'étais perdue, lorsqu'il parle j'ai l'impression qu'il y a plus que de l'amitié entre nous, mais ce que mes yeux ont vue tout à l'heure me faisait dit le contraire.

Sofiane : viens on va au parc de la dernière fois, ça te fera du bien

Moi : hum ...

On va au parc et on s'assoit sur le même banc que la dernière fois. Sofiane préfère se banc car on ne nous voit pas.