Chronique de Sheryane : Jusqu'à ce que l'Jennah nous unisse.

Chapitre 60

Salem Aleykoum mes stars, vous allez bien ? Je compte sur vous pour m'encourager en mettant des commentaires et en votant ♥️ vous êtes nombreuses à lire la chronique et je vous en remercie, mais svp faites un petit effort pour mettre au moins un vote et un commentaire ça me fait toujours plaisir. D'ailleurs merci beaucoup à mes Gow qui commente et vote tout le temps vous êtes trop mims je vois tout les commentaires et vraiment y'en a où je suis plié de rire 🤣. Bref...🫶🏻 je vous love, bonne lecture

Sofiane : * en posant ma main sur ton torse * t'a niquer mon cœur Sheryane ... ce putin d'organe veut pas arrêter de t'aimer.

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Je n'ai rien dit, j'avais compris que cette séparation lui avait fait autant de mal qu'à moi. J'ai pas pu me retenir de pleurer, sans faire un bruit. Il ne me regardais pas donc je pensais qu'il remarquerait sûrement pas que je suis en train de pleurer... du moins c'est ce que je croyais, mais rien ne lui échappe .

Sofiane : tu pleures ?

Moi : * la voix qui tremble * non pas du tout ...

Sofiane : et la goute qui vient de tomber sur ma main c'est quoi ? La pluie peut-être ?

Moi : peut-être qu'il va pleuvoir, je sais pas moi

Il a soufflé la fumée de son joint puis m'a tendu les clef de la voiture

Sofiane : vasi monte j'arrive

Je suis monté dans la voiture le coeur lourd et les joues trempé. Il a fini de fumer puis il m'a rejoint dans la voiture.

Il a démarré d'un coup, il fixait la route pendant que j'avais la tête posé sur le vitre entrain de l'admirer. C'est pas possible comment il est trop beau tbarak' الله, en plus il avait sa barbe bien taillé, un dégradé tout jdid, et son parfum enivrant qui me chatouillait le nez .

Je ne savais pas vraiment où est-ce qu'on allait, et honnêtement j'osais pas lui demander j'avais trop peur . Il commençait à rouler de plus en plus vite, je voyais sa mâchoire se contracter et ses main tenir fermement le volant. Il doublait par la droite, il prenait des virages de malade mais ils ne s'en rendait même pas compte son pied était toujours sur l'accélérateur.

Moi : * avec une petite voix* Sofiane ralenti stp, on va faire un accident. On va mourrir ce soir si tu continue...

Sofiane : j'en ai rien a foutre !

Moi : en plus t'es complètement défoncé, stp ralenti

Sofiane : t'a peur maintenant hein ? C'est pas le même Sofiane que d'habitude hein ?!

Moi : * d'une voix tremblante * stp Sofiane dit pas n'importe quoi...

Il n'a plus dit un mot, on a roulé encore 5 minute puis il s'est garé près d'une forêt très sombre .

Sofiane : sort !

Moi : ça va pas ? Non je reste là !

Il est sorti de la voiture, mais au moment de sortir, lorsqu'il était dos à moi j'ai aperçu qu'il était calibré, il avait une arme derrière le dos. Je commençai à avoir de plus en plus peur, il était complètement défoncé, je l'imaginais déjà me tirer dessus et jeter mon corps dans la forêt.