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Mama : Et une partie du Mexique pourrait venir à nous en attendant...

Elle se lève et ouvre la porte d'entrée puis ma grand mère apparaît derrière la porte en fauteuil roulant.

Mes yeux se remplissent directement de larmes de joie.

Alejandro : Abuela !

Il court vers elle et il l'a prends dans ses bras, je m'avance lentement vers elle et je prends conscience de sa situation.

Elle est en fauteuil roulant...

Elle est vraiment malade alors...

Alejandro : Que...haces... en este estado...dit-il en se détachant d'elle

=« Que...fais-tu... dans cet état »

Elle regarde immédiatement mes parents et ils détournent le regard.

Ma grand-mère parle uniquement l'espagnol mais il peut arriver qu'elle comprenne certains mots en Français.

Abuela : Mis hijos... Vine a pasar tiempo contigos... Este no es el momento para pensar en eso por favor...

=« Mes enfants... Je suis venu passer du temps avec vous... Ce n'est pas le moment d'y penser s'il vous plaît... »

- Y pensar de que ?

=« Et penser a quoi ? »

Mama : Excusez-moi

Elle passe sa main dans le creux de son œil et elle sort de la pièce.

Papa : Je ferais mieux d'aller avec votre mère...

Il prend le même chemin qu'elle et nous laisse mon frère, ma grand-mère et moi.

- Je pense que c'est mieux si on s'assoit.

- skip de quelques jours -

J'avais actuellement besoin de prendre l'air après tout ce que on vient de me dire... J'ai pas vraiment réfléchis avant de l'appeler mais j'avais besoin de lui.

Je suis aller dans un parc, là bas il y a un petit lac par dessus le quel il y a un petit pont. C'est un endroit avec beaucoup de végétation, j'aime bien y aller.

Sauf que aujourd'hui je suis pas vraiment d'humeur et cette ambiance me donne juste envie « d'évacuer » ma tristesse.

? : Salut...

Je me retourne pour lui faire face en essuyant mes larmes.

Neymar : Je suis venu dès que j'ai pu... Est-ce que tu vas bien ?

Je secoue la tête et c'est là que mes larmes reprennent.

Neymar : Qu'est-ce qu'il se passe Cami'... ?

- Ney... Elle va mourir, ma grand-mère va mourrir...

Il me prend délicatement dans ses bras en m'embrassant le front.

« Juste un service »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant