THE MAZE RUNNER-[Never Stop Running]

Chapitre 28

________•The maze, finished plan

Nous suivions Minho à travers les bois, traversant la verdure avant de finalement arriver à destination.

Une cabane nous faisait face.
Je fronçais les sourcils, je ne l'avais jamais vu.

-C'est le but, annonça Minho, ayant probablement deviner mes pensées.

Il ouvrit la porte, nous faisant entrer avant de la refermer derrière lui, tout en vérifiant que la forêt était bien vide.

Thomas et moi restions immobile au fond de la pièce, attendant les explications de Minho quant à notre présence ici.

Il découvrit la table au centre du drap qui la cachait, faisant apparaître un plan immense du labyrinthe.

-Le labyrinthe, plan terminé.

Thomas fronça les sourcils.
Quant à moi, je hochais la tête, Minho m'avait déjà annoncer cette nouvelle.
À savoir que le labyrinthe avait déjà était fouillé de fond en comble.

-Plan terminé ? Je croyais que vous étiez toujours en train de le cartographier ?

-Il n'y a plus rien à cartographier. J'ai couru chaque millimètre, de chaque couloir. Si il y avait une sortie on l'aurait trouvé depuis longtemps.

-Pourquoi tu ne l'as dit à personne ?

-Alby m'a forcé.

Je soufflais du nez.
Alby? Étonnant, non?
Pas pour ma part en tout cas.
Ce n'était pas nouveau, je n'avais jamais été une grande fan de ses méthodes.

-Les gens ont besoin de croire qu'on a une chance de sortir.

-Sinon les règles s'effondre. Le plus grand cauchemar d'Alby, j'imagine, alors adieu l'honnêteté et la solidarité. Le choix a du être rapide, comme quand il a décidé de tuer des blocards.

Minho se tourna dans ma direction.

-Alby avait ses raisons, il essaye de tous nous protéger en faisant ces choix, ça ne veut pas dire qu'ils étaient faciles.

-Pourquoi tu le défends? Tu ne cautionne pas ses méthodes non plus.

-C'est vrai. Mais c'est différent maintenant, parce qu'on a une vrai chance de s'échapper.

Il attrapa le cylindre métallique que nous avions trouvé dans le griffeur.

Il commença à expliquer le principe des sections à Thomas, et je m'éloignais, explorant la cabane en observant autour de moi.

Une fois devant une grande armoire en mauvaise état, je jetais un coup d'œil aux deux garçons qui semblaient au milieu d'une conversation captivante, je me permettais donc d'ouvrir ma trouvaille.

J'écarquillais les yeux à la vue qui s'offrit à moi.
Des dizaines d'armes blanches différentes.

Un sourire amusé prit place sur mon visage.
Pour une fois, Minho avait l'air modeste avec son mini poignard.