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Chapitre 35 : Cauchemar Redoutable

/!\ TW : Viol / Inceste /!\

19 juillet...

Le soir de mon anniversaire.

Il est entré dans ma chambre, m'a demandé de le suivre prétextant avoir une surprise pour moi, ce qui ne m'a pas alerté dû à mon jeune âge.

Une fois arrivé dans sa chambre, leur chambre, - celle où ma mère dormait avant de nous quitter - il m'a demandé de m'asseoir juste avant de fermer la porte à clef.

- Tu es grande maintenant, chérie. M'a-t-il murmuré tout en s'approchant de moi.

Assise sur le lit, je fus prise d'un frisson intense qui bloqua ma respiration ainsi que mes pensées. Tout mon corps se figea lorsqu'il déposa sa grande main froide - très froide, beaucoup trop froide - sur le haut de ma cuisse, beaucoup trop proche de mon intimité.

Malgré mon jeune âge, j'ai vite compris que ce n'était pas normal pour un père de toucher sa fille à cet endroit, un endroit beaucoup trop intime.

Je ne voulais pas qu'il me touche. Il ne m'avait jamais touché de la sorte auparavant.

Mon cerveau criait à mon corps de partir, de le repousser, de faire quelque chose pour ne plus sentir son touché sur mon corps. Mais mon corps était paralysé. Je n'arrivais plus à penser, mon être entier était à sa merci. Mon cerveau n'arrivait plus à faire cligner mes yeux, ce qui est habituellement une action automatique.

- Plus tu grandis, plus tu ressemble à ta mère... dit-il de sa voix habituelle, cette voix qui seulement maintenant me terrorise.

Lorsqu'il retire sa main, mon corps commence à trembler, mes yeux se ferment et je prie. Je prie pour que ça ne soit qu'un cauchemar, un cauchemar dans lequel il n'ira pas plus loin, mais c'est belle et bien la réalité, la réalité qui a cause de lui devient un cauchemar...

J'entends le bruit sourd d'un meuble traîner sur le sol, le parquet grince, je peine à ouvrir de nouveau les yeux par peur que cela recommence, que sa main se pose de nouveau sur moi.

Lorsque j'arrive à réunir tout mon courage - que je n'ai plus vraiment à cet instant - pour me laisser voir ce qu'il se passe. Je le vois tirer de toutes ses forces la grosse armoire, jusqu'à finir par la placer devant la porte.

Il voulait être sûr que personne ne rentre, les derniers espoirs qui me restaient s'envolèrent. Il n'en avait pas fini avec moi, sa propre fille.

Il se retourne lentement vers moi, un sourire horrifique plaqué aux lèvres, je suis terrorisée, malgré tout mon corps ne répond toujours pas, mon cerveau non plus par la même occasion.

Il s'avance avec une lenteur qui rend l'instant d'autant plus pesant. Depuis le décès de maman, mon géniteur a eu un changement de comportement radical. Je laisse mes pensées divaguer jusqu'à maman, je ne remarque pas qu'il est maintenant très proche de moi.

Il s'approche, pose ses deux mains de chaque côté de mes cuisses, sans que je ne m'en rende compte, ses mains ne se sont pas juste posées sur mes cuisses, mais elles font descendre mon short de pyjama.
Plus il descend, plus mon cœur semble s'arrêter de battre. Je n'ai même pas de mot assez puissant pour exprimer ce que je ressens en cet instant. Une fois mon short arrivé à mes chevilles, il l'envoie à travers la pièce. Je regarde mon bas de pyjama heurter le mur avant de s'écraser sur le sol.

Je remarque rapidement qu'il n'a pas uniquement enlever mon pyjama, mais aussi ma culotte. Mes mains se mettent à trembler, mon corps entier tremble de façon incontrôlable.

Il dépose ses mains de nouveau sur le haut de mes cuisses. Son sourire démoniaque n'a pas quitté son visage depuis qu'il a fermé la porte de cette putain de chambre.

Ses mains se rapprochent de mon intimité, il commence à me caresser l'entre-jambe, cette sensation me donne des nausées insurmontables.

Ses yeux sont fixés aux miens, tandis que moi je me contente d'éviter son regard qui me traumatise un peu plus à chaque seconde qui s'écoule.

Je sens soudainement quelque chose s'introduir en moi, cette sensation nouvelle, j'ai toujours rêvé de la découvrir avec un homme que j'aime et avec qui je me sens protégée, apaisée, heureuse.

Mais non, cette sensation, il me l'a volé, ce qui devait être un moment incroyable, lui me l'a pris et l'a transformé en un cauchemar redoutable.

L'homme qui devait me prendre ma virginité dans de bonne circonstance est finalement mon géniteur, dans d'atroces souffrances.

Je sens que ce qu'il a introduit en moi bouge, je décide donc de regarder enfin ce qu'il me fait subir, et me rend compte que ce sont ses doigts qui me pénètrent actuellement.

J'ai subitement un haut-le-cœur qui me foudroie l'abdomen.

Il sort ses doigts subitement, me regarde, puis se retourne, il avance vers l'armoire avant de la décaler à nouveau, puis il sort... il quitte la chambre...me laissant seule presque entièrement nue sur le lit que j'ai partagé une tonne de fois avec lui et maman...

Maman...

Je suis désolée...