L∆ SCORTA DEL MAFIOSO

25

Le lendemain.

Point de vu Arès.

Je dois sortir ce matin, pour aller voir un fournisseur et lui faire part des plans.

J'étais déjà habiller, il ne me manquait plus qu'aller prévenir l'indigente de mon départ au cas où elle commence à fouiné.

Je sors de ma chambre pour me diriger vers celle de l' indigente, j'allais entrer quand quelqu'un me stoppa.

Nagal.

Je baisse ma tête pour le regarder .

Nagal : Tu es déjà debout ?

Moi : oui, je dois sortir.

Nagal : Et tu vas où ?

Moi : j'ai plus 12 ans Nagal.

Nagal : je sais mais tu restes toujours mon gamin, qu'est que tu vas faire dans sa chambre elle dort.

Je m'en fou...parce qu'il pense que ça m'intéresse ?

Moi : je vais lui dire un truc.

Nagal : D'accord mais elle dort.

Je soupire et fusille Nagal du regard

Lui : Tu sais qu'il y a qu'a moi que ce regard ne fait pas peur.

Je grogne de mécontentement.

Moi : je dois lui dire quelques choses.

Lui : D'accord mais ne la réveille pas brutalement.

Je le regarde incrediculement alors qu'il s'en va.

Elle vient juste d'arriver et on se préoccupe d'elle !

Il m'a même pas demander comment j'ai dormis, il aimait le faire avant non ?

Sorcière. Sorcière.

Elle jette un sort à tout le monde, sauf à moi bien sûr.

Je vais les désensorcellés et on verra .

J'entre dans sa chambre j'allais parler quand j'entends sa voix.

Elle : Non! Non!.

Je fronce les sourcils , elle est endormie. Elle parle dans le sommeil.

Ça doit être son chef d'un gang de sorcellerie.

Je m'avance vers elle bouge  ses cries deviennent plus fort.

Moi : Je veux pas! Arrête. Non! S'il te..

Son corps est plier sur elle même, elle transpire beaucoup, elle respire brutalement comme si elle s' étouffait.

Ses yeux sont fortement fermés, sa bouche tremble ,son visage ne ressort que pitié.

Je m'approche d'elle et elle s'assoit brutalement en tremblant, ses yeux sont toujours fermés.

Elle : je veux pas ! Non.!!

Moi : c'est quoi encore ces conneries.

Elle : s'il te plaît. S'il te plaît, laisse nous.

Sa voix est faible et rouillée.
Je vis deux larmes sortir de ses yeux, je fronce les sourcils en m'avançant calmement.

Elle se lève subitement et part dans le coin de la chambre, ses yeux désormais ouvert  rouge et faible.

Ses yeux sont ouverts mais elle, elle est comme dans un autre monde. Elle met les mains sur sa tête comme pour se protéger d'un coup.

Elle : pourquoi tu veux me faire ça ?