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Putain mais qu'est que je fais?

je suis perdus! merde! il a haussé !

ok. Tout d'abord tu te calmes et tu réfléchis.

15minutes plus tard.

Cela fait au moins 15minutes que je marche merde! Qu'est que j'ai bien fait au bon Dieu pour mériter ça ?

je continue la marche à pieds, je me sentais mal très mal, j'avais même des courbatures, plusieurs courbatures.

Il va me le payer, qu'est qu'il croit! Que j'ai peur de sa petite bite! il va voir.

je vis enfin la route et les voitures roulées, mais à mon putain de malheur j'avais pas d'argent pour me payer un taxi!

je me place sur le rez-de-chaussée et fait signe à certaine voiture  avec l'espoir que quelqu'un vienne vivement m'aider.

Le temps passe et toute les voitures m'esquivent comme si j'étais invisible, franchement l'humain est méchant. Une Ferrari noir vient carrément de me verser de la boue, la boue putain!

fils de pute!

La route devint vide, il faisait un peu noir et il commençait à faire froid, très froid, j'étais vénère en même temps épuisée, je me couche lentement sur la route en attendant que le sommeil me prenne. Mes yeux commencèrent à se fermés instantanément quand soudain une lumière forte vint violement frapper mes yeux, je me lève brusquement quand une voiture se dirige vers moi pour ensuite s'arrêter, je fronce les sourcils, quand je vis un jeune homme aux cheveux châtains.

Lui : Bonsoir madame puis-je vous aidez?

J'étais très méfiante mais bon... là où j'en suis, j'ai pas vraiment le choix.

Moi : Bien sûr merci beaucoup.

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Le monsieur m'avait gentiment ramener et je l'ais copieusement remercier avant de me diriger vers la villa de mon très cher patron.

je commence à  marché , j'étais exténuée, je suis peut-être une indigente ou je sais pas quoi mais je suis sûr d'une chose je déteste Arès VILSSACHINO de toute mon arme.

j'ouvris la porte ayant traverser ces gardes de malheur,  je tombais immédiatement sur l'enflure, la bêtise, l'ignare, le con, l'imbécile et enfin l'animal qu'est mon patron.

Son regard est froid et remplit de mépris il me regarde puis enlève directement le regard pour continuer de marcher comme si j'étais une vulgaire chose.

j'avais juste envi de lui plaquer une bonne gifle, j'imagine l'état dans lequel je suis. j'ai pas envi de lui parler j'ai juste envi de dormir.

je montais dans ma chambre en fermla porte à clé ensuite je me déshabille pour me diriger vers la douche italienne.

je pris un bon bain, mes paupières pesaient lourdement , j'eus un tournement de tête, un vertige puis je vis une peu noir, je dois aller chez un médecin un de ces jours pour ça, c'était pas la première fois, je pris mon portable et appela Ecé.

elle décrocha mais après une longue durée.

Moi : Qu'est que tu faisais de beau pour pas rapidement décrocher ?

je m'arrête perplexe quand je vis un bleu sur son visage.

Moi : Qu'est que c'est Ecé?

Ecé : C'est rien je me suis juste cognée en marchant.

sa peau était très fragile, plus petite je me rappel qu'au moindre faut pas elle demeurait avec une cicatrise ce qui me déplaisait.

Moi : Fait attention à toi Ecé, c'est ton corps, ton...

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant