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Point de vu Filo .

Je me suis réveillée il y a quelques minutes avec du sang partout j'ai recommencé à pleurer.

J'avais enlever le draps plus qu'il était plein de sang, j'avais détacher mes cheveux, désormais c'est eux qui couvraient mon corps.

Je me rapproche du corps d'Anaïs.

Moi : désolé ma petite désolé, je paierai cher pour ça, je T'ai laisser mourir pourtant j'avais le choix.

Le grincement de la porte me fît me lever pour faire face à l'ordure devant moi.

Pacom : Filo KAHARAMAN.

Moi : La seule et l'unique.

Pacom : bien dormie ?

Moi : j'ai mal dormi pacom mais moi au moins je n'ai pas du sang sale sur mes mains ...comment tu peux vivre avec ça? Tu les à tuer,toutes...je...

Pacom : ahhh ferme la de toute façon elle allait mourir...j'ai que précipité les choses .

Moi : je suis plutôt fiers qu'elles soient morte que de continuez à subir ces choses...tu sais ce que t'es ? Un sale lâche...lâche !...lâche !...lâche...tu es minable....une bizarrerie....un con...un salopard qui n'a même pas les couilles pour s'affronter avec le chef de la mafia italienne.

Lui : ferme la

Moi : j'ai touché ton égo ? Tu es un peureux...tu as peur d'Arès parce que tu sais que s'il t'arrête tu es un homme mort...au fond de toi...tu trembles tu as peur qu'il te retrouve

Lui : ferme la !!

Je m'en fou de son énervement, moi aussi je suis énervée épuiser complètement abattu.

Moi : moi à ta place j'aurais honte, marcher avec des chiens pour me protéger sans toute fois être fort, lâche petit lâche...tu es un lâche...dans ton coeur tu pries Allah pour qu'Arès ne te retrouve pas...parce qu'il va te faire la peau.

J'articule bien mes mots sur le bout de ma langue pour qu'il comprenne.

Lui : Tu vas fermer ta bouche !

Une claque vint à l'instant en me propulsant faisant bien valser mes nerfs.

Je fais un sourire nerveux.

Moi : tu vois c'est la vérité. Lâche.

Lui : il ne s'intéresse même pas à toi, tu mourras là comme un déchet sans qu'il ne vienne te sauver.

Je sais. Je le sais très bien.

Moi : Moi au moins je mourrais la conscience reposée pas comme toi avec du sang de gamine sur les mains...tu leurs a tout pris.. leurs dignités, leurs puretés, tout ! Leurs virginités mais pourquoi tu es aussi cruelle ?!

Je recommence à trembler .

Pacom : Tu sais ce que j'adore sur toi KAHARAMAN ? Tu es une putain de lionne, mes hommes t'ont donnés des coups mais tu n'as même pas ouvert ta jolie bouche pour pleurer et sa m'excite.

Je le vis s'approcher de moi avec un regard pervers.

Moi : Me touche pas et recule tout de suite pacom! Tout de suite .

Lui : regarde tes beaux cheveux, tu es magnifique...et je te ferai des choses magnifiques comme toi, ce que Arès ne va jamais te faire.

C'est une concurrence ?

Il s'approche encore plus de moi et s'accroupit .

Moi : je vais te croquer ta partie si tu tentes quelques chose...tellement fort que tu n'auras jamais d'enfant.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant