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le lendemain

Je viens juste de me réveillée et franchement je me sens pas bien, je finis de prendre ma douche.

j'allais appeler Ecé quand mon téléphone se mit à sonner et quel coïncidence ce fût Ecé.

je décroche rapidement le téléphone.

Moi : J'allais justement t'appeler putain!

je tends l'oreille mais aucun son ne sort.

Moi : Ecé?

toujours

Moi : Ecé tu m'écoutes ?

ça doit être un problème de réseau ou un problème technique.

je raccroche et descends.

Nagal : Tu es déjà debout?

J'hoche simplement la tête .

Nagal : aller vient par là je t'apprends un plat de chez nous.

pourquoi pas!

point de vu ARES

j'étais sortis très tôt pour une affaire, je suis tellement fatiguer, j'ai deja envi de rentrer chez moi.en ITALIE.

Palerme!

je rentre directement, et je vois l'indigente entrain de cuisiner un plat avec Nagal, je suis plutôt discret.

je la regarde pendant un bon bout de temps, je me surprend ressentir quelque choses.

je secoue brutalement ma tête essayant de me ressaisir après ce qui c'est passer hier je ne crois pas qu'elle veut ouvrir sa grande gueule pour me parler, putain! Elle me rends malade là !

je monte l'escalier quand subitement j'entends un éclat de rire.

c'est elle, putain je l'avais jamais entendu éclater de rire, indigente.

Soudain, je pense à ses lèvres qui sont surement entrain de s'attirer et à ses traits qui sont eux aussi surement là et a ses petites fossettes qui ont dûs se plaquées sur ses joues douces, ses yeux, ses putains d'yeux qui sont surement devenus plus petits. Qu'est qu'elle me fait!je glisse sous la douche en détachant ma chevelure.
Elle meonsume.l'indigente est entrain de me dissiper putain!

point de vu filo

Après la blague de Nagal qui date surement des années 70 je finis par monter dans ma chambre, on avait fait un bon plat de nouille sauter et vraiment un delice. je pianotais mon téléphone quand la porte s'ouvrit, je vous laisse deviner qui entre sans frapper.

je ne daigne même pas me tournée et continus mon activité.

Arès :on va quelque part dans 1heure.

je me contente d'hocher la tête.

Arès : Qu'est que tu fais exactement pour pas te tourner et me regarder quand je te parle?

je l'ignore complètement.

Arès :Indigente m'énerve pas, n'essaie même pas, tourne toi et regarde moi.

il s'approche de moi qui suis debout devant la penderie à vouloir choisir quoi me mettre.

il arrête rageusement mon bras, ce qui me fait grimacer discrètement à cause de la douleur.Malgré son cirque je l'ignore
totalement, fallait bien que je me venge après les débats d'hier.

Arès : Ok, on verra bien qui entre nous deux va crier quand je vais te balancer dans les rues puis démarrer et t'abandonner là.

je le fixe rageusement,son regards noir et très joueur me fixe autant.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant