L∆ SCORTA DEL MAFIOSO

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Point de vu Filo.

Effectivement sur le papier, c'est bien écrit Arès.

Je remonte l'escalier toujours surprise,  je me dirige vers la chambre de Malik pour faire mes au revoirs à Mélissa, je me place devant la porte qui est entre ouverte, j'entends plus les bruits ce qui veut dire que warel n'est plus à l'intérieur, j'entre donc sans frapper et mon regard se pose instantanément sur Malik qui est assit sur son lit les coudes sur les genoux et les poings sur le menton comme s'il méditait.

Quand j'ouvre la porte son regard se pose sur moi.

Malik : Qu'est qui ce passe Filo ? T'as un problème?

Me dit-il plus inquiet qu'étonner.

Moi : non je vais bien, je venais juste dire bonne nuit à Mélissa.

Malik : Elle vient de rentrer.

Moi : il est un peu tard non ?

Malik ; oui mais elle a décider de partir, tu la reverras demain quand elle reviendra prendre le reste de ses affaires.

Son ton est rauque,froid et un peu rouillé. Cette rupture doit le caser.

Moi : je vois.

Je me tournais donc pour sortir quand il m'interpelle:

Malik : Filo attends.

J'hausse les sourcils .

Malik : je peux te poser une question ?

J'hoche immédiatement la tête.

Moi : bien sûr que oui.

Il se redresse et me dit:

Lui : il t'ai déjà arriver de te sentir seul ?

Je fronce les sourcils.

Me sentir seul ? Bien sûr que OUI, mille et une fois. Tout les jours, chaque seconde de ma vie était solitude.

Je n'avais personne chez qui me plaindre. Ou pleurer, c'était toujours a moi que revenait la tâche au contraire.

Moi : oui, malheureusement c'est un sentiment qui vient seul et détruit.

Malik : Et comment le repousser.

Je ne peux dire comment repousser ce sentiment puisque moi même, je ne sais pas comment m'y prendre, j'ai beau essayer mais en vain.

Moi : Je ne peux te dire, moi-même je ne sais pas Malik.

Il me regarde puis enlève le regard.

Malik : Mélissa veut des enfants.

Je fonce les sourcils face à ce qui vient de dire

Malik : mais je peux pas .

Sa voix est calme, comme toujours elle ressort me mal qu'il a en lui.

Moi : comment ça..est ce que..enfin.

Est-il incapable ?

Moi : tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? Tu sais pouvoir et vouloir sont deux verbes différents.

Malik : je ne veux pas.

Moi : Et pourquoi ?

Malik : La peur.

Oh seigneur...mais répond.

Moi : La peur ?

Répétais -je

Malik : Si j'ai des enfants aujourd'hui qui s'occupera de ma famille ? C'est vraie que Zayn et Arès ne lâcherons rien mais je ne peux pas me retiré. On a toujours fait tout ensemble, toujours tout partager...souffrance, paix, malheur, joie. Tu ne peux pas savoir.