L∆ SCORTA DEL MAFIOSO

51

Flash-back....

Point de vue Filo.

J'ai été si vulnérable....

J'ai été humilier devant tout ce monde...

J'ai été détruite encore une fois ...

Une fois de plus ...

Je suis submergée...

Je suis....je suis sa femme ...je suis

Filo Asta Villsachino.

Au bout d'un moment je m'arrête, je respire doucement en marchant . J'ai très mal au dos, j'ai des courbatures et sûrement des bleus sur le dos .

Les larmes ne cessent de coulées mais je ne gères pas, je ne veux pas qu'elles coulent mais elles le font donc je me dis que tout se passe dans ma tête, une si petite tête qui pense à un milliard de choses.

Je m'arrête fâcheusement quand je sens une présence derrière moi...

Arès ?

Non.

Je sens les pas de plus en plus avancés et par réflexe je me retourne lentement en levant les mains . Non seulement je n'ai rien pour me défendre mais encore même si j'en avais je ne pourrai me battre, je n'ai plus de force .

Je vois un homme cagoulé qui à une arme braqué sur moi .

Je roule les yeux en le regardant

Moi : Qu'est que tu me veux ?

L'instant d'après je sens un coup sur ma nuque et je m'écroule plongeant dans un trou noir .

Fin du Flash-back

Point de vue Filo.

Je le défis du regard .

Je regarde autour de moi pour la millième fois .

Moi : Qu'est que je fais ici ?

Il fait un air aussi choqué que moqueur.

Verdugo : Tu n'aimes pas ma compagnie gamine ? Bienvenu dans mon manoir .

Moi : Je veux voir ...

Verdugo : Arès ? Wank? Malik? Zayn ? Qui ?

Moi : je veux ... sortir d'ici .

Je serre mes poings parce que je deviens de plus en plus tendue.

Verdugo : Tu es désormais une prisonnière Filo...ma prisonnière.

Je le défis encore plus du regard .

Verdugo : J'aime pas ton regard .

Moi : Qu'est que j'en ai à foutre ?

Verdugo : Rien...enfin pour le moment .

Il allait sortir quand je dis :

Moi : Qu'est que tu attends de moi ?

Verdugo : Lentamente mio caro, lentamente. ( Doucement ma belle, doucement).

Je roule les yeux alors qu'il sort de la chambre.

Je brûle intérieurement de rage, je me retiens de ne pas crier . Putain de merde qu'est que je fais ici !?

Point de vue Arès.

Je dois être au centième joint du matin mais je m'en fou royalement . Je suis assis à même le sol dans mon bureau de la baie, je file encore et encore. Personne ne risque d'entrer pour me déranger, parce qu'ils savent dans quel état je suis. Personne ne doit le faire . Je commence à avoir des migraines supplément de vertiges et Violents maux de vision.