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point de vu Arès.

Je n'arrive pas à comprendre, j'ai réussit à trouver la personne qui a kidnapper mon indigente, un certains AHMET CARADAC, son oncle.

Le frère à son père, et pourquoi la kidnapper s'il veut la voir?

C'est un mafieux, j'ai fais ma petite enquête et il dirige un grand cartel aux états unis.

Je comprends qu'il n'ait pas vu sa nièce depuis mais c'est pas une bonne manière.

Il y a quelque choses qui cloche, et à ma grande surprise Ecé est aussi chez lui.

Ici en Italie, ils sont là, chez leurs oncle, putain rien ne va.

Malik: A quoi est ce que tu penses ?

Moi : Il y a bien un truc qui cloche n'est ce pas ?

Malik : Oui.

Zayn : En plus de cat il a des demeures ici en Italie.

Warel : pourtant sa vie est en Amérique, et si il est si riche pourquoi avoir laisser Filo, sa mère et sa sœur dans la pauvreté toute ces années?

Moi : Putain j'vais devenir bête!

Warel : Elle te manque l'indigente.

je sors de la pièce en fusillant Warel du regards pendant qu'il lève les mains en l'air signe d'innocence.

idiot.

Point de vu Filo.

J'ouvre doucement les yeux et regarde la Pièce, je suis dans une chambre, une grande chambre luxueuse, j'ai un mal de crâne de malade.

je me tourne vers la gauche et bouscule un corps.

je regarde la personne.

Ecé.

ma sœur.

Moi : Ecé réveille toi chérie.

je secoue son petit corps.

elle se réveille, les yeux cernés, et des hématomes sur son visage n'ont pas disparut.

je la serre rageusement dans mes bras et la couvre de bisous.

Ecé : Filo...

elle s'effondre en larme sans que je ne comprenne

Moi : Dit moi ce qui se passe ma belle dit moi

Ecé : C'est joolan...au début il était bien...ensuite il a commencer à me frapper quand ça le chantait, il refusait que tu vois son visage, il...il me frappait.

Moi : Est que tu sais où l'on est?

J'essais de faire comme si elle ne venait pas de me dire tout ça, comment j'ai pas pu voir que ma sœur souffrait, tout est clair, les photos qu'elle ne me donnait jamais... c'était bien lui que j'ai vu avec le tatouage.

Elle: non.

je la serre dans mes bras en essayant de ne pas pleurer.

soudain la porte s'ouvre, et du plus profonds de mon être j'espère ne pas croiser mon oncle.

j'espère que ce n'est pas ce que je crois.

Ecé et moi relevons les yeux vers la silhouette.

Ses yeux vert, sa silhouette toujours aussi terrifiante, ses courts cheveux blancs teinté d'un peu de noir corbeau, son visage un peu plus vieux que ces dernières années.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant