46

243 13 2
                                    

Point de vue Arès .

Lui : Alors c'était ça ... c'était lui Indigente .

Elle me regarde dans les yeux.

C'est ce que j'aime . Je déteste quand elle baisse ce beau regard et elle l'a enfin compris.

Cette cicatrice sur son ventre, c'était lui.

Je savais qu'elle avait menti quand elle m'avait dit que c'était un accident de vélo .

Sale fils de pute.

Crétin.

J'écoutais à la porte depuis le début.

Je sais que vous allez dire que c'est une mauvaise habitude mais comment vous dire que je m'en fiche sans toute fois vous faire arrêter la lecture de l'histoire ?

Je m'en tape . En plus c'est ma Villa je fais ce que je veux.

Ce fils de pute bastonnait des gamines non mais il a tout ses sens lui ?

J'aurais bien dû le niquer.

Il  violait Ecé et ce devant mon Indigente. Je ne sais pas ce qu'elle a ressentis mais c'était tout sauf la joie.

Elle a les yeux d'une diablesse mais une enfance consternée.

Dans ses yeux se cache l'angoisse.

Elle : Arès.

Je serre plus ses hanches et me colle à elle, ma main toujours sous son t-shirt noir.

Tout doucement ma main quitte son ventre pour s'aventurer un peu plus haut .

Elle : A...

Moi : Chut.

Son bustier dont j'ignore la couleur semble fins, soutenant sa poitrine un peu trop ample ce qui ne me gène en aucun cas.

Je la vois fermer doucement les yeux pour savourer le moment.

Quand j' enfuis ma main gauche dans son bustier, le contact de celle ci sur l' aube de son sein gauche je la vis rouvrir les yeux et me fixer comme si, elle venait de découvrir cette sensation.

Elle me fixe dans l'incompréhension. Et ce n'est pas la première fois que je vois ce regards. J'ai l'impression qu'elle...non.

Elle a 22 ans bientôt 23. Vue sa façon de souvent être séduisante il est impossible qu'elle soit vierge.

Impossible.

Je m'aventure encore plus haut et je touche la partie la plus sensible de sa poitrine.

Son téton.

Déjà trop tendu à mon goût, je la fixe, sa tête est baissée, sa bouche entrouverte comme pour chercher de l'air. Elle lève la tête et je souris, alors que du bout de mes doigts précisément le pouce et l'index, je pince son téton, de ses mains elle me serre mon dos et s'accroche presque qu'à moi.

Je souris une fois de plus et elle me regarde et se sent frustrée et gênée.

Moi : Indigente, je sais qu'aucun fils de pute ne t'a jamais fait ressentir ce que tu ressens comme moi je te le fais ressentir.

Elle me fixe avec un regard plutôt doux qui vire à la surprise quand je titille son téton.

Ses joues rougissent encore plus .

Moi : Tu ne dois pas être gêné Indigente, faudrait t'habituer parce que tu m'appartiens donc à n'importe quel moment et quand ça me chante je peux te faire ce que je veux. Comme,  te baiser, te baiser et encore te baiser.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant