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Déjà rentrer depuis 1heure, j'étais entrain de penser à cette femme, ses mots m'avaient donner une sensation étrange, je ne savais pas pourquoi elle ne m'avait guerre trahit pourtant elle a eut l'occasion, peut être que ce qu'il y a dans cette mallette est dangereux pour son fils...

Sans prêter attention au regard noir de mon oncle je monte les marches de l'escalier...

Lui : Tu as fait un bon travail.

je m'arrête pour lui lancer un de mes plus brave regard et sourires"j'rigole"

Moi : Oui tu vois ces derniers temps j'ai appris à tuer des personnes inoffensives, donc les missions pour moi c'est du gâteau.

Lui : C'est pour cela que je t'aime autant ma grande tu es...époustouflante.

Moi : Je sais contrairement à toi qui n'a jamais rien fichu de ta vie, tu donnes le sale boulot à tes chiens.

Lui : C'est ça être un chef.

Moi : Chef de mes couilles oui.

Lui : Tes cheveux sont déjà plus long que d'habitude...tu ne les tailles pas?

Moi : Ton problème c'est lequel?

En effet je n'avais pas taillé mes cheveux depuis longtemps, ils doivent être crépus de l' intérieur, je n'ais même pas le temps de prendre soin de moi.

Lui : j'aime quand on prend soin de ce qui m'appartient.

J'eus à l'instant T un pincement dans le coeur.

Moi : Qu'est que tu viens de dire?

Lui : Tu as bien entendus.

Moi : Je n'appartiens à personne espèce de sale pervers.

Lui : Fait attention à tes mots ma belle, je ne veux surtout pas qu'une belle bouche prononce ce genre de mots.

Moi : Le pire c'est que t'as même pas honte.

Lui : Pourquoi avoir honte quand on a deux si belles créatures.

Moi : Ferme bien ta gueule, j'ai dis que ni Ecé ni moi, n'appartenons ni à toi ni à qui que ce soit .

Et s'il faille que j'appartiens à quelqu'un c'est à Arès VILSSACHINO.

Lui : J'ai dis ce que je pense...au fait...j'aimerais bien savoir comment tu as convaincu ARES VILSSACHINO a travailler avec toi...je connais déjà la brave histoire de Wank et mon chers frère et tout mais cela ne réponds pas à comment le plus sadique des VILSSACHINO a pu accepter un garde du corps pire une fille, encore pire toi.

Avec une ou deux bonnes gifle, une blessure par couteau c'est passer.

Moi : Ça ne te regarde pas.

Lui : Oh que si.

Moi : Je ne te dois aucune explication sur ma vie va bien te faire foutre.

il se leva et vint me rejoindre, il s'arrête à une marche de moi.

Lui : Ne me dis pas que tu t'ais donner à lui.

je raidis à l'instant mes émotions se mélangent , je suis troublée comme le CO2 dans l'eau de chaud.

Moi : Tu...tu es entrain d'insinuer que...je suis une...pute...une prostituer.

Lui : Ouais, un peu comme ta mère , les chiens ne font pas les chats.

Je ne pus me retenir de lui donner une bonne gifle qui fait valser son crâne jusqu'a ses artères.

Il me regarde avec un sourire nerveux très nerveux, avant de m'arrête par les cheveux et de me traîner vers je ne sais où.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant