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Point de vu Filo.

Ares n'écoute personne,il ne veut rien n'étendre, j'hurle encore et encore mais en vain. J'ai vraiment peur qu'est qu'il lui arrive,il devient fou 

Moi :ARES !!!

Je tremble,je pousse des sanglots,je supplies tout le monde pour l'arrêter mais personne n'ose,d'autre se moque de lui,il va finir par mourir,les tessons sautent de partout et le blesse,la bat de golfe ne fait que frapper et à chaque coup il se blesse,à chaque coup je m'effraie à chaque coup j'essaie de pas fondre en pleur,il se fait du mal.

Moi : Je t'en supplie arrête !!! S'il vous plaît aidez le !!

Personne,personne ne m'écoute.
Je m'avances doucement vers Ares

Ares : Ne t'approche pas !!!!!

Il a tellement hurler que mes oreilles sont sur le point d'éclater.

Moi : Ares ressaisis toi,regarde moi.

Je m'approche encore

Ares : Je T'ai dit de pas t'approcher !!!!

Il continu à frapper.

Je m'avances encore et les coups se font de plus en plus fort.
Ses yeux rouges émane une noirceur indescriptible,une lueur de rage dans son regard.

Ares : INDIGENTE!!

Moi : ARES!

Ares : RECULE!!

Moi : ARRÊTE !

J'ai peur,j'ai même très peur,je suis apeuré.
Les muscles D'ARES sont contacté.  Je ne le reconnais plus , qu'est qui lui arrive ?

Je dois l'arrêter, il se fait du mal,je peux pas le laisser comme ça, il m'a déjà sauver de deux viols,je dois lui rendre l'appareil.

Je ne sais pas comment m'y prendre mais je vais l'arrêter.

Ares : INDIGENTE !

Moi : ARES.

Ma voix est plus douce.

Je m'avances encore vers lui.

Ares : je te ferai du mal reste à l'écart !

Moi : tu ne me fera aucun mal,il faut que tu te ressaisis.

En avalant difficilement la salive et ressentant les battements irréguliers de mon cœur qui se faisait de plus en plus fort je décidais de m'avancer plus près.

Désormais j'étais juste à côté d'ARES qui cognait machinalement la voiture .

Que dis-je ? Le tas de ferraille.

Ares : Je T'ai dit de dégager !!!

Il est désormais en sueur,ses hurlements ne pourront pas me laisser,le laisser se faire du mal.

J'attends le bon moment. Alors que la main d' Ares était le lever pour à nouveau frapper le tas de ferraille.

Je pris mon courage à deux mains et avec un gros pincement dans mon corps à la seconde qui suivi ,je me place devant fermant fortement les yeux,sachant ce qui risque de suivre,je serre les yeux et alors que je m'attendais à un gros choc sur ma tête,je ne sentis rien.

Alors jouvre instantanément les yeux et je vois Ares avec ses deux mains qui arrêtent la bat, ses mains sont superposées en haut sa tête  sur le point de violement se plaquer sur ma tête,il me regarde tétanisé par ce que je viens de faire,ses yeux sont toujours aussi rouge même le bleu de ses yeux ne ce voit absolument plus,le rouge domine tellement,je regarde son torse bombé qui se lève frénétiquement,sa respiration assez bruyante.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant