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Point de vue Filo

Ça fait un moment que nous sommes de retour.

J'avais pris mon bain et Arès est sur la terrasse muet comme jamais. Il fume et je ne pense pas qu'il veut parlé à qui que ce soit encore pire...moi.

Donc je me couche et prend mon téléphone.

Sms

Jallal : Qu'est qu'il fait ?

Après la scène Jallal m'avait appelé pour me demander des comptes et je lui ait rendu ceux ci.

Moi : A ton avis ?

Jallal : Il fume ?

Moi : oui, il veut parlé à personne.

Jallal : c'est ce qu'il t'a dit ?

Moi : C'est sûr, vu son état, encore moins à moi.

Jallal : * c'est ce qu'il t'a dit ?

Moi : Jallal arrête tout suite tu veux ?

Jallal : Tesoro tu sais bien que tu es la seule qui peut arranger ça n'est ce pas ?

Moi : Je vais essayer d'essayer .

Jallal : Crois moi, je sais dans quel état il est en ce moment j'ai connu pire. Mais c'est comme ça, qui sait peut-être tu seras celle qui calme l'homme assez bipolaire qu'il est. Aide le Filo, je sais que c'est pas facile mais c'est soit tu apprends à vivre avec ou soit tu changes ses démons.

Moi : Jallal ?

Même si je sais que c'est en vain j'essaye quand même .

Moi : Je... Qui est Verdugo ?

Jallal : Tu sais bien que si ça dépendait de moi j'allais te dire n'est ce pas trésor ?

Je souris face à sa sincérité.

Moi : C'est que à chaque fois...

Jallal : Je sais mais...toi demande lui.

Moi : Tu m'envois me suicider ?

Jallal : Ce n'est que lui qui peut te dire ce que tu veux entendre pas moi Trésor, alors byeeeee il faut que je finisse un travail.

Moi : hummm...lequel ?

Jallal : 🔞.

Moi : Irrécupérable.

Jallal : merci je sais.

Je souris une fois de plus et dépose mon téléphone.

Je regarde vers la terrasse.

Arès est debout les deux mains sur la banquette de la terrasse. Je pense qu'il à fini sa cigarette, ses cheveux sont aux vent, sa chemise est à moitié ouverte, à le voir comme ça il ressemble beaucoup à Wank, son charisme s'impose, son odeur attire et son caractère s'intensifie à chacun de ses mouvements.

Je me lève et vais à côté de lui, je me place sur la banquette .

Après une dizaine de minutes il se décide enfin à parler.

Lui : Tu dors pas ?

Moi : Et toi ?

Lui : une question par une question...tu te fous de moi.

Moi : Oui.

Un silence sombre s'installe avant que je reprenne

Moi : On devrait aller dormir.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant