35

333 20 2
                                    

point de vu Filo.

Palerme(Italie) 1h05min

Après la scène avec Arès, nous terminons le dîner. J'étais si heureuse de l'avoir vu, sentis, toucher et part dessus tout embrasser, je n'ais pas pu résisté à lui, c'était trop pour moi.

Je sens encore mes lèvres sur les siennes. Hélas je suis en enfer, je suis une prisonnière et je n'ais pas droit l'erreur.

Je suis dans la chambre avec Ecé , on vient de finir de prendre le bain, elle n'est pas encore rétablie, elle me fait de la peine, elle souffre tellement et je m'en veux pour ca.

Moi : Est-ce que tu te sens mieux Ecé ?

Elle allait répondre quand la porte s'ouvre sur le visage sombre et le regard venimeux.

AHMET : J'espère que tu as su tenir ta langue très chère Filo.

je ne réponds pas et je le fixe avec dégoût.

Lui : Me regarde pas comme ça ma grande, sois calme comme ma pureté.

Moi : Je t'ais déjà dit de ne plus l'appeler comme ça !

Ecé me serre encore contre elle, de plus en plus fort.

il adresse un sourire diabolique.

Lui : Ne crois pas que tu m'empêches de faire quoi que ce soit ma chers Filo.

Je ne lui réponds pas et me contente de me lever pour prendre un verre d'eau.

Lui : Sois déjà très contente que je vous laisse profiter de ma villa.

Moi : Dans mon cul ta villa.

je me rassieds

Lui : Ma grande est-ce que tu te rends compte à quel point tu as changé?

Moi : Tu croyais que j'allais demeurer petite?

Lui : Tu sais, en te voyant bien tu me ressembles beaucoup.

je le foudroie du regard avant de dire avec mépris:

Moi : ah bon? Je crois pas moi, parce que moi contrairement à toi je n'ais jamais envier ma soeur, je ne suis pas non plus une ingrate, ni un chien comme toi.

Il contracte la mâchoire et vient serrer la mienne en un bout de temps.

Lui : Ne te fais pas d'idées ma belle je peux te tuer quand je le désire, tu ne me parleras plus jamais comme ça est-ce que c'est clair?

son regard est ténébreux, effrayant, dégoûtant .

Moi : Je te parle comme je veux AHMET

il fait un sourire nerveux.

Lui : Tu ne pourras m'empêcher de ne rien faire. Si je veux, je te tus, là et toute suite, et je reste avec ta tête signe de respect pour mon défunt frère .
Ne joue pas avec le danger, travailler avec les vilssachino est sans doute un exploits mais tu restes ma nièce chérie, ma belle.

il me relache alors que je deviens faible face à ses mots, ses surnoms me donnent la haine, comment il peut faire ça ? il ya qu'une seule personne qui a le droit de dire que je suis sa belle.

Sentant encore ma mâchoire douloureuse je fis une grimace.

Lui : bonne nuit, mes chères, et vous avez été parfaite ce soir comme j'aime n'est ce pas Ecé ?

Ecé hoche frénétiquement la tête .

il fait un sourire pendant que je le foudroie d'un regards plein de haine et de dégout .

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant