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point de vu Filo.

J'ai mal, trop mal, ma tête, mes os, mes pieds, tout mon corps.

Fait chier!

J'arrive pas à ouvrir les yeux malgré mes efforts, je sens la présence de quelqu'un mais de qui ?

Putain, ma tête !!

J'entends quelques voix mais j'arrive pas à les dissimuler ce qu'elles disent. Mon corps me fait atrocement mal, à chaque fois que j'essaie d'ouvrir les yeux, je sens ma tête valser. Mes nerfs sont en éruption.

J'ai chaud!

Non j'ai froid !

Je respire de plus en plus facilement, je ressens des mains se posées sur mon ventre et tout à coup, j'ai plus trop froid ni trop chaud, je sens mes membres raidir mais tête me fait toujours aussi mal.

Je crois que je plane dans les cieux...ou peut-être c'est juste une hallucination.

Je me sens partir dans  l'au-delà, c'est ça mourir ?

Non, je ne crois pas ! Et même si oui, je ne partirai nulle part.

C'est difficile d'ouvrir mes yeux, c'est tellement dur, mais je vais le faire.

J'essaie d'ouvrir une première fois mais je n'arrive pas.

J'essaie une deuxième fois mais je sens mes nerfs valsés, quel mal de chien.

J'essaie une troisième fois avec toutes mes forces mais mes paupières sont de plus en plus très lourdes.

Pourquoi j'y arrive pas ?!

Je respire un grand coup pour pouvoir essayer de les ouvrir à nouveaux.

je m'arrête quand cette odeur pénétra  dans mes narines mon cœur commença à battre à la chamade.

Ce parfum d'homme, ce parfum fort pure que je reconnaîtrais contre milles autres.

Ce parfum qui envahit mes journées, ce parfum qui est mélangé d'une odeur de sueurs cette fois ci , ce parfum qui est parfois sur moi parceque son propriétaire est parfois trop rapprocher de moi.

Celui d'Arès.

Il est là, je veux dire je ressens sa présence et je sent son odeur. Il est là.

Alors que le parfum parsemait délicatement mes narines, petit à petit j'ouvrais les paupières, mes yeux s'ouvraient lentement mais se refermait aussitôt que la lumière du jour frappa ceux-ci.

Je me contentait de les ouvrir plus prudentes.

Le premier visage que je vis c'est celui de Nagal il était assit sur mon lit, je tourne ma tête pour regarder les alentours des lieux.

Et je vis que c'était ma chambre de Corée.

Moi : que c'est t-il passer Nagal.

A l'entente de ma voix son visage se levait pour me fixer avec un grand sourire.

Lui : Tu es enfin debout ma petite Asta.

J'essaye de me souvenir de ce qui c'est passer et les souvenirs revenaient à une vitesse affolante.

Flash-back quelques minutes avant qu'Ares ne quitte la villa pour rejoindre colin.

Point de vu Filo.

Je dois faire quelques choses.

Je regardais Arès débarrassé son plat et je regarde dehors pendant deux secondes.

L∆ SCORTA DEL MAFIOSOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant