Chapitre 37

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Un mois, c'est écrouler, depuis m'a sorti de l'hôpital, grâce à dieu, je vais beaucoup mieux.

J'ai revu ma mère une fois entre-temps, elle s'est occupé de moi comme à son habitude, et elle a continué à faire connaissance avec Samir.

D'ailleurs, c'est deux s'apprécie énormément, pour mon plus grand plaisir !

Entre Mateo et Samir, c'est toujours tendu, mais autant un que l'autres fonds des efforts devant moi pour que tout se passe pour le mieux.

Ryad ce porte à merveille, il est toujours avec nous, je l'aime comme un frère, c'est le premier à toujours être partant pour tout, je peux compter sur lui a n'importe quel moment de la journée.

Entre lui et Anissa, les tensions ce sont un peu apaiser, mais Ryad ne veut pas entendre parler d'Élyes, j'ai beaucoup de peine pour ma copine, mais je lui dis souvent de ne surtout pas baisser les bras et de croire en leurs amours.

Mon père silence radio, plus aucune nouvelles de lui et il ne s'est pas précipité pour prendre de mes nouvelles depuis ce qu'il c'est passer avec Diego.

Plus aucune nouvelle d'Ahmed et Selim, du moins pour le moment. 

Et Samir...

L'amour que j'ai pour lui grandit chaque jour, je ne pourrais plus me passer de lui, il fait partie de moi.

Samir et moi sommes allés rendre visite à la maman de Ryad, elle est très contente pour nous et surtout pour lui d'avoir trouvé quelqu'un qui le rend heureux.

Nous étions tous à table en train de papoter.

Ryad : J'vous jure que j'vais m'acheter une grenouille et j'vais l'apprivoiser !

Anissa : Mais tu dis nimp ! comment tu vas apprivoiser une grenouille wesh !

Ryad : Bin j'vais lui faire un petit lit tranquille, comme ça, elle frappera ces meilleures siestes, et j'vais lui fabriquer une petite laisse comme ça j'peu la faire zoner avec moi !

Moi : Ptdrrrrr, je m'attendais à tout sauf à la grenouille.

Samir : Mon frere, je t'aime vraiment beaucoup, mais là, tu pars en biberine complet.

Ryad : Arrête de faire le mec devant ta femme toi, t'aurait été autant partant que moi !

Anissa : J'avoue !

Samir : Ta gueule toi.

Tata était dans la cuisine en train de préparer du thé, l'odeur venait jusqu'au salon, et la nausée commence à me monter.

Moi : Je vais aux toilettes, je reviens.

Je me lève rapidement, je ferme la porte des toilettes derrière moi et je dégueule !

Mais je dégueule mes tripes, c'est abusé !

Quelqu'un toque à la porte.

Anissa : Alia ! ça va ?!

J'ouvre la porte.

Moi : Pas du tout.

Anissa : Oh putain, il t'arrive quoi ?!

Moi : J'en c'est rien, je viens de vomir...

Anissa : Ta peut-être mangée un truc qui n'est pas passé, viens allonge-toi un peu dans mon lit.

Elle me tient par la main et m'allonge sur le lit, et je ne sais pas pourquoi soudainement, je viens de pensée à quelque chose.

Moi : Anissa, on est le combien aujourd'hui ?

Amour sans condition... Où les histoires vivent. Découvrez maintenant