Chapitre 35

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Marco

Je lui prépare un rapide repas et lui dépose sur la table.

-Merci.

Elle baille mais mange toute son assiette. Elle m'a l'air bien fatigué. Avec toutes ses émotions de la journée, je peux la comprendre.

-Mia cara va te coucher. Tu es littéralement épuisé.

Elle a l'air d'hésiter en me regardant. Soit elle veut me dire quelque chose, soit elle aimerait m'embrasser. Je préfère l'option numéro deux perso. Je vais lui faciliter la tâche.

Je l'attrape par la nuque et l'embrasse. Nos lèvres s'entrechoquent et se mêlent ensemble. Je glisse ma langue sur la sienne avec ardeur. Je serai bien tenté de la prendre ici même, sur la table mais je ne suis pas sûr que son corps supporte cet assaut. Mon sexe est bien tendu dans mon pantalon. À m'en faire mal. Je me détache d'elle et madame à le visage remplis de magnifiques rougeurs.

-Aller va te coucher je te rejoins après. Tu connais le chemin de ma chambre.

Elle s'en va. Je me sers un verre de whisky et envoie un message à Alvaro.

Les frères Bianchi on détruit l'appartement de Alesia aujourd'hui. Ils ont tout saccagé. Ça veut dire qu'ils sont venus en pleins centre-ville et qu'on a peut-être une chance de les faire suivre avec les caméras de surveillance. Si tu pouvais jeter un œil et me tenir au courant merci.

Je bois mon verre d'un trait et le laisse sur le comptoir. J'ouvre la porte de ma chambre et la trouve dans mon lit endormis. Qu'elle est belle. Et désirable. Mon sexe pulse contre mes vêtements. Je vais devoir me calmer. J'enlève mes vêtements et ne reste qu'en caleçon. Je m'allonge et la prend dans mes bras. Son petit poing se pose sur mon torse. Je souris et la regarde.

***

Je suis réveillé par Alesia. Elle fait un cauchemar.

-Non laisse-moi. S'il te plaît. Non.

Je la secoue pour la réveillé. Elle papillonne des yeux et se met à pleurer. Son cauchemar doit l'avoir perturbé. Je la prends dans mes bras.

-Hé mia cara, ça va. Je suis là. C'était un cauchemar. Tout va bien trésoro.

Elle renifle et hoche la tête après plusieurs minutes.

-J'ai rêvé que...Des hommes me kidnappé après que j'ai découvert mon appartement détruit. Je...ensuite Loukas essayer de me...

J'ai très bien compris ce qu'elle voulait dire. Cet homme n'a pas intérêt à se rapprocher d'Alesia sinon je le tuerais. Je m'en fais la promesse. Je la serre un peu plus fort dans mes bras.

-Tout va bien mia cara. Je ne laisserai plus personne te faire du mal d'accord ?

-Oui, dit-elle dans un murmure.

Je la recouche et la colle à moi. Sa joue est sur mon torse et ses jambes entre les miennes. Mes mains sont autour de sa taille. Je crois que l'agression de cet enculé de Loukas et son appartement qui a était mis en désordre totale, est un choc plus violent qu'elle ne me le fait dire. Si elle arrive à en faire des cauchemars qui comportent ses deux événements chaotique c'est qu'elle ne va pas si bien que ça.

Je décide de veiller sur elle toute la nuit. Pour être sûr que tout ira bien.

***

Le matin se lève et Alesia dort toujours. J'ai besoin d'une bonne séance de sport. Je m'écarte d'elle sans la réveiller et m'empare d'un jogging. J'ouvre la porte au fond de mon appartement. Et oui j'ai ma propre salle de sport. C'est plus pratique, je l'ai à porter de main. Je pars de temps en temps faire un footing dehors dans les rues de Milan.

Je commence par soulever des poids pendant de longues minutes sans me fatiguer. J'enchaine avec des tractions avant d'entendre des pas à l'entrée. Je reconnais l'odeur d'Alesia. Je saute sur le sol et rejoins Alesia qui rougit.

Madame pensait que je ne l'avais pas entendu. Je souris.

-La vue te plaît cara ?

-Je...Je...ne te regardais pas. Je te cherchais c'est tout, dit-elle nerveusement.

Elle met très mal mais c'est si mignon ses petites rougeurs.

-Je te crois trésoro. Tes petites rougeurs le confirment d'ailleurs.

Elle ouvre la bouche outrée et ça me fait bander un max. Cette merveilleuse bouche, ses lèvres pulpeuses. Cette bouche peut faire de vrai miracle.

-Tu sais quoi, si c'est pour se moquer de moi je préfère aller prendre un petit déjeuner seul, dit-elle en se retournant boudeuse.

Je l'attrape le bras et la plaque contre le mur. Son expression boudeuse m'excite tellement. J'ai envie d'elle. Elle me retourne complètement le cerveau. Je n'ai jamais désiré une femme aussi fortement et aussi longtemps. Le désir est inépuisable. Je m'empare de sa bouche sans une once de douceur. Elle crie de surprise. Elle s'accroche à mon cou. J'ai besoin de la toucher et de lui donner du plaisir. La sentir se trembler dans mes bras. La goûter et la faire crier de plaisir et de frustration. Ça c'est ce que j'aime lui faire.

-Marco..., Me murmure-t-elle les yeux fermés.

Mon sexe palpite dans mon boxer et ne demande qu'à sortir et la faire sienne. Ma main par à l'encontre de son intimité déjà brûlante de désir. Je souris de satisfaction. J'enfonce deux doigts en elle. Je sens ses jambes trembler et je la soutiens de mon bras autour de sa taille. Je bouge mes doigts rapidement en elle.

Elle gémit plus fort et ses parois se contracte autour de mes doigts. Je ne compte pas la faire jouir maintenant. Non, je veux qu'elle jouisse en même temps que moi. Quand je serai en elle.

Je l'embrasse tout en retirant mes doigts. Elle me lance un regard désapprobateur. Madame n'est pas ravie de l'avoir privé de cet orgasme.

-Ne t'inquiète pas cara. Je vais te faire jouir. La frustration est le meilleur moyen d'avoir un orgasme plus puissant, dis-je près de son oreille avec sensualité.

-Humm...

Je souris et suçote sa peau. Je veux montrer au monde entier qu'elle m'appartient même si je ne devrais même pas continuer de la garder près de moi. Avec tout ce qui c'est passer. Je la mets en danger chaque jour, chaque heure qui passent en sa compagnie.

Je laisse une marque rouge dans son cou. Je déboutonne mon pantalon et baisse mon boxer.

Mon sexe est fièrement tendu devant elle. Je la vois se mordre la lèvre et dieu c'est l'effet ce que ça me fait. J'empoigne mon sexe et le place devant son intimité. Je la pénètre d'un puissant coup de reins. Elle crie de plaisir. Je la soulève et la pose sur ma commode. Je me retire d'elle et la pénètre une nouvelle fois avec plus de vigueur. Elle fait tomber sa tête contre mon épaule, le visage ravagé par le plaisir. C'est jouissif de la voir dans cet état-là. Grâce à moi.

J'enserre ses hanches et bouge en elle rapidement. Sauvagement. Mon pénis pulse en elle et ses parois se resserrent autour de mon membre qui gonfle encore. J'accélère le lui laissant aucun répit. Je plaque mes lèvres contre elle avec violence. Ma langue rencontre la sienne et se mêlent ensemble. Son gémissement se meurent dans ma bouche.

Je jouis en elle et madame ne tiens pas non plus. Son corps est recouvert de spasmes qui durent plusieurs secondes. Qu'elle plaisir de la voir dans cet état second. Je me retire d'elle et l'aide à se rhabiller. Je remonte mon jogging et mon boxer. J'ai besoin d'une bonne douche et si possible avec ma petite princesse.

My heart belongs to himOù les histoires vivent. Découvrez maintenant