Chapitre 5

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"Le sexe est une envie, l'amour est un besoin !!!"

Je l'ai réalisé en cet instant précis, aussi fou que cela puisse paraître Edith me procurait une sensation jamais ressentie auparavant. Ses lèvres charnues avaient englouti mon sexe et le serrais de façon précise et minutieuse. Ses va-et-vient ont laissé libre cour à mon imagination et très vite je n'ai pu me contenir. Je voulais plus, assouvir ce besoin ardent ce feu qui me consumait de l'intérieur.

Moi: Tu me rends dingue je t'assure.

Elle s'est arrêtée et m'a fixé, la luxure se lisait dans son regard. Juste après , elle s'est retournée et m'a offert son c*ul ferme et bien rebondi.

Edith: Va-y, lâche toi.

Moi:Tu es sure de toi?

Dis-je d'un air surpris.

Edith: Bai*se moi !!!

Elle venait de me donner le signal que j'attendais depuis lors.  Sans perdre le temps , j'ai pris mon sexe d'une main et je l'ai inséré entre ses lèvres chaudes et sensuelles du bas d'un coup sec. Elle a gémit et s'est courbée encore plus pour que je puisse bien la pénétrer. La sensation était intense , son sexe était chaud et humide .

Très vite , je me suis adonné à ce plaisir réel et intense. De manière lente au départ , je lui ai donné du plaisir et lorsqu'elle a joui et prenais que c'était terminé je me suis penché vers son oreille et je lui ai dit dans un murmure léger.

"Ce n'est pas encore terminé, fais-moi aussi jouir bébé !!!".

Elle a souri et j'ai changé le rythme en accélérant la cadence. La chevauchant sans repis. Je ne savais pas si j'excellais. Tout ce qui m'importais c'était le fait de me donner à fond pour ne pas me foutre la honte devant ses yeux. C'est dans cette optique que j'ai frappé ses fesses et je lui ai donné des coups secs et profonds.

Elle couinait de plaisir , c'était tellement bon que je n'avais pas l'intention de m'arrêter . J'ai continué à la chevaucher durant de longues minutes , à un certain moment elle s'est mise à se tortiller et me supplier d'arrêter.

Edith: John !!! Tu es une machine à sexe Woowwww !

Moi: Merci bb mais je n'ai pas encore jouis.

Apres avoir dit cela, je l'ai retourné et j'ai soulevé ses jambes les écartant grandement au passage pour que la pénétration soit suffisamment profonde.
Au premier coup, elle a émis un cri sourd qui m'a fait sourire. Je comptais me délecter de son corps même s'il faille la labourer durant de longues heures.

"Je n'ai rien demandé, tu t'es offerte à moi. " dis-je intérieurement.

En la cognant, je repensais à la pi*pe majestueuse qu'elle m'avait faite il ya de cela quelques minutes. C'était une experte mais sans le vouloir j'ai pris goût et j'ai laissé mes petits soldats au fin fond de son va*gin au bout d'une demi heure.

Moi: Ahhhhhh !!!!

Je venais de jouir finalement et la seconde d'après, j'ai déposé ses jambes sur les carreaux de la douche. Mais contre toute attente, elles se sont mises à trembler et l'ont lâché.

Comme un sac de patate, elle a atterri sur le sol glissant de la douche dans un état second. J'ai pris peur et je me suis penché vers elle pour me rassurer.

Moi: Tout va bien ?

Elle n'arrivait pas à parler...

"Ohoooo qui m'a envoyé ?"

Je l'ai porté pour l'emmener dans la chambre, je craignais le pire si la situation prenait une autre tournure.

Moi: Bébé ?!! Réponds-moi s'il-te-plait.

Son regard était vide.... l'ayant remarqué, j'ai commencé à paniquer.

Moi: Qu'est-ce que je fais ? Réfléchis John , réfléchis !!!

J'ai fait tourner mon cerveau et au final je me suis souvenu d'une petite astuce qu'un de mes camarades de classes nous avait partagé. Je me suis penché sur elle et j'ai pincé fortement son sein gauche. Je savais que ça allait être douloureux mais à ce stade je n'avais plus rien à perdre. Comme prévu, elle a hurlé de douleur et son corps a repris des couleurs.

Moi: Edith? Ça va mieux?

Elle m'a fixé d'un air étrange comme si je m'adressais à une autre personne.

Edith: Que s'est t'il passé ?

Moi: Après notre petit échange sous la douche tu t'es effondrée par terre. Au départ j'ai cru que c'était dû à la fatigue mais quand j'ai vu que ta mine avait changé j'ai pris peur. Tu as un soucis de santé ? Ça t'arrive souvent ?

Edith: Désolé de t'avoir fait peur, en fait je suis asthmatique !

"Tout s'explique !!!" Me suis-je dit

Moi: Comment tu sais que tu as une santé fragile et tu te permets de prendre ce genre de risques ? S'il t'arrivait quelque maintenant ?

Edith: Je n'y ai pas pensé désolé.

Moi: Hummmm, ma cousine m'a dit que ton père est commissaire. Tu veux ma mort ou quoi?!!!

Edith : J'ai dit que je suis désolée John c'est quoi tout ce bavardage ?!!

Elle a crié sur moi et ça m'a énervé. Sans prévenir, j'ai ramassé mes vêtements et je me suis rhabillé vite fait.

Edith: Mais qu'est-ce que tu fais?

Dit-elle surprise.

Moi: Ça ne se voit pas? Je me casse !!!

Edith: Wehhh mon petit bébé, je n'ai pas voulu de blesser vraiment désolé. Pardonne-moi s'il-te-plaît !!!

Moi: J'ai dit que je m'en vais, je pense que certains boulons ont sauté dans ta tête. Même si je suis ton cadet jamais je dis bien jamais je ne vais permettre que tu me manque de respect de cette manière. Faut faire ça aux personnes sans personnalité qui t'entourent habituellement.

Edith: Mais, et notre programme ? Tu sais combien cette chambre m'a coûté ?

Moi: Je m'en fiche éperdument, à plus.

Edith: John si tu franchis cette porte tu me remets tout ce que je t'ai offert !!!

J'ai ri aux éclats.

Moi: Sérieux ?

Elle a hoché la tête.

Moi: Très bien, demain tu les auras et après cela évite moi !

Je suis sorti en claquant la porte , elle se prenait pour qui au juste. Moi John Belek on ne me parle pas comme si j'étais un chiffon. Malchance !!!

Le GigoloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant