60. Au pied du mur (B1)

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Bon les filles ça va faire mal, désolée. A partir de là, je balance parfois des passages brouillons, meme si quand meme il y a beaucoup de rédigé. Si vous voulez, vous pouvez les rédiger et je les remettrais au propre ici à la place. 

Passage B1 brouillon 1  ( un volontaire pour l'écrire ? )  : 

pov arnaud Arnaud va chercher la voiture garée à queqlues pas de là et l'approche devant l'appartement pour qu'ils partent. 

pov jeremy jeremy sort de chez Arnaud avec Albert derrière, bouleversé, amoureux transi. Il ne savait pas que ça pouvait exister. (Dans la voiture, ils ont beaucoup parlé, Arnaud s'est montré volubile sur l'album, Jérem écoute d'une oreille, mais retient surtout la fougue, la joie dans ses yeux d'Arnaud sur ses projets - l'énergie etc ) plus rien ne sera comme avant - il se souvient d'un copain qui parlait de ses emois adolescent et ne comprenait pas - pourquoi s'en rappelle t il soudainement aujourd'hui ? - il n'a pas envie de quitter arnaud pour la soirée - le supplie de venir mais Arnaud le ramène chez lui et refuse - baiser dans la voiture ( albert dort, il n'a pas manger et doit s'occuper de lui)

 jeremy est sur le point de dire ce qu'il ressent, bref, grosse intensité.

là du coup soirée où il s'ennuie, on parle de l'afrique ( jeremy s'implique pour penser à autre chose) 

(fin du brouillon 1, suite  du chapitre ci dessous ) 

chez Jérémy, 22h30, Fin de soirée organisée pour son retour 

 " Partez pas sans finir le gateau au chocolat !" 

 " En tout cas,  c'était sympa, tu passes le bonjour à ta femme"

Jérémy était debout, il faisait semblant de parler, il était complètement sonné en vérité ! Il regardait encore le salon.  Depuis qu'il est arrivé il se posait cette même question anodine : le canapé a été déplacé, il se trouve maintenant contre le grand mur blanc, mais pourquoi ? Et surtout, il trouve que sa place est bien meilleure qu'avant, alors pourquoi n'avait-il pas eu l'idée avant ? 

Il trouvait qu'Andy avait changé, mais ne sut pas dire pourquoi. Elle se tenait droite, elle distribuait des sourires à tout le monde, s'intéressait à chacun, mais ne parlait jamais d'elle, d'eux. Jérémy se sentit mal, il avait du mal à affronter son regard. Il s'étaient à peine échangés un mot depuis son arrivée, mais il avait senti à son regard qu'elle avait compris pourquoi il avait débarqué à presque dix heures du soir. 

Jérémy passa les premières minutes à chercher bêtement Arnaud du regard, il se sentait imcomplet, inconfortable, frileux et ennuyé. 

C'était idiot. Arnaud et Albert n'étaient pas restés à la soirée. Arnaud avait expliqué à Jérémy qu'Albert était fatigué, que la soirée n'était pas faite pour le petit garçon et qu'il n'avait personne pour le garder au pied levé. Arnaud s'est contenté de redéposer Jérémy chez lui. L'ambiance dans la voiture avait été bizarre, chacun avait en tête ce qu'ils 'étaient passés dans la salle de bain. La partie de nettoyage du rouge s'était faite dans l'urgence, dans la douleur et sans un mot.  Bien sûr, ils avaient eu encore envie de s'embrasser, mais une sourde inquiétude prédominait, le début d'une culpabilité sans aucun doute. 

Jérémy fut arraché de ses réflexions par l'arrivée d'un Mickaël pas très chaleureux.

Il lui parla d'un hotel, lui demanda si le staff technique a sa place ou s'il fallait qu'ils se débrouillent par eux-même, qu'est-ce que lui, Jérémy, avait décidé, parce que, bon, quand même. Il parlait d'une voix contenue, comme s'il se retenait... 

-- Le staff ? Mais de quoi tu parles ? répondit Jérémy avec spontanéité.

-- Tu déconnes j'espère? 

Le Vol de la CoccinelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant