la personne idéale

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J'ai recommencé d'écrire mon  histoire, j'étais  décourager mais j'ai repris courage, ceux qui lisait cette histoire j'espère que vous êtes toujours là. Car l'aventure entre nos deux héros ne fait que commencer, beaucoup de surprise vous attendent encore.

Point de vu d'Amina

Je rentre dans la chambre et me jette sur le lit en pleure, elle veut pas de moi, ma belle mère ne veut pas de moi comme sa belle fille. Que vais-je faire maintenant ? Maman m'a toujours dit que ma belle mère devrait m'apprécier si je veux que mon mariage fonctionne. J'arrête de pleurer en entendant la porte grincheux. Je le sens s'assoir à coter de moi sur le lit.

Alaric : arrête de pleurer, elle était juste surprise de découvrir que je m'étais mariée. Ce n'étais pas contre toi qu'elle était en colère

Je ne dis rien et l'écoute que d'une oreille, je sais qu'il dit cela seulement pour me consoler. C'est claire que sa mère ne m'apprécie pas.

Alaric: écoute  Amina, j'ai un rendez vous d'affaires, et pour ne pas que tu reste seule ici, qu'est-ce que tu dirais que je te dépose  chez toi pour passer la journée, une dernière fois avec ta famille.

Je soulève aussitôt la tête en entendant ça, je m'assois et m'essuie le visage rempli de  larmes.

Moi: o...oui, je...je veux bien, merci

Je le souris contente, il sourit et se lève pour se préparer. Je fais de même après avoir nettoyer la cuisine et terminer la vaisselle. Je porte en ce moment une robe traditionnelle et un foulard qui va avec la robe. Je descends et attends Alaric au salon impatiente de revoir ma famille. Je lève la tête en attendant des bruits de pas, je le vois descendre portant une chemise blanche et un pantalon noir. Il avait tresser ses locks, il soulève la tête et me regarde. Je baisse les yeux et joue avec mes mains.

Alaric : tu es..  très traditionnelle

Je soulève la tête et le regarde confuse, est-ce un compliment ou une  critique?

Alaric: bon on y va sinon je vais être en retard.

Il commence déjà a marcher vers la sortie, je le suis aussitôt. On prend l'ascenseur et on descend à l'accueille. Je ne peux m'empêcher de remarquer le regard de certaines filles à son  égard. Mais ce qui me rassure, c'est qu'il ne les calcul pas. Il donne quelque chose à la réceptionniste et il me demande de le suivre au parking. Quand on arrive là-bas, on retrouve sa voiture garé, il l'allume et monte sur le siège conducteur. Je la contourne et monte sur le siège passager.

Alaric: nous partons en fin de semaine

Je tourne la tête et le regarde confuse, partir où? Il me regarde ayant compris ma question silencieuse.

Alaric: au Sénégal, je commence les procédures pour le billets d'avions aujourd'hui

Je le regarde  surprise, donc il viendra avec moi malgré l'interdiction de sa  mère?

Moi: mais ta mère a dit que tu devais me laisser ici, elle va mal le prendre si tu ne l'obéissais pas

Il me regarde et sourit.

Alaric: crois moi, ça ne sera pas la première fois que je ne ferais pas ce qu'elle me  demande. Tu es ma femme Amina, donc  c'est à moi de décider quoi faire de toi, et non à ma mère

Et il démarre avant de commencer à conduire. Je sais pas comment prendre son manque de considération envers sa mère! Je ne dis rien durant tout le trajet, en pensant à ma vie au Sénégal. Je ne connais même pas ce pays, comment vais-je m'y habituer vivre  là-bas? Je souris en voyant notre petite maison, il gare la voiture et  descend. J'ouvre la porte et descends  aussi.

La vie d'Aminata Où les histoires vivent. Découvrez maintenant