Lando aimait beaucoup de choses dans la vie, en premier le lait, en deuxième les pancakes et pour finir Carlos, vu que c'est son meilleur ami et tout le monde le savait sur le paddock. Il rêve de pancake depuis des semaines, mais son physio refuse qu'il en mange tant qu'il y a des courses, alors il attend avec impatience la pause estivale.
Alors qu'il était dans son motor-home, il cocha la case de la date d'aujourd'hui, comme chaque jour qui passe. Il cocha une case pour attendre la pause. Il fixe son mur tellement longtemps qu'il n'a pas entendu qu'on toque à la porte.
- Cabrón, qu'est-ce que tu fais ? Dit une voix qui le fait sursauter.
— Rien, seulement perdu dans mes pensées, sinon, qu'est-ce que tu fais chez Mclaren, Carlito ?
— Zack m'a dit que tu étais bizarre, ça ne va pas, Cariño ?
— Je ne veux pas que je mange des pancakes pendant les week-ends de courses, je dois attendre la pause estivale, dit-je en soupirant.
Carlos regardait son ami comme si celui-ci plaisantait, mais en voyant le visage de son bouclé, il eut de la peine, alors il s'approcha doucement de lui et le serra dans ses bras. Lando ne savait pas comment réagir, il avait l'habitude des câlins de Carlos, mais là, il ressentait des émotions encore inconnues pour lui.
Carlos commence à se reculer quand il sentit Lando le servir en retour. Il est heureux. À la fin de cette marque d'affection, il se recula et remarqua que Lando rougissait, mais il préféra ne rien dire.
— Oh Lando, commença Carlos, mais fut interrompu par la porte qui s'ouvrit.
— Ah, désolé de vous déranger les jeunes, mais Lando, on t'attend pour les derniers exercices avant la course.
— Pas de soucis, Jon, j'arrive.
- Je vais devoir y aller. Lando, on se reverra tout à l'heure et Jon, j'aimerais te parler d'un truc si tu veux bien.
— Pas de souci. Carlos dit-il en partant, suivi par Carlos.
Il se prépara et sortit de son motorhome pour aller faire ses exercices d'avant-course.
Point de vue de Carlos
Il regarda Jon en réfléchissant à ce qu'il allait dire. Il voulait aider Lando à nouveau à sourire comme il aimait tant le voir.
— Jon, je sais que ce n'est pas bon pour Lando de manger des pancakes, mais s'il te plaît, laisse-moi lui en préparer de tant en tant, surtout les weekends où on n'a pas de courses. Tellement qu'il déprime de ne pas pouvoir en manger, il a commencé à cocher des cases sur son calendrier.
— Carlos, tu sais bien que ce n'est pas possible, sauf si tu me promets que cela restera occasionnel. Parce que je sens que s'il n'en a pas avant la pause, il va nous faire une déprime.
— Je te le promets, Jon. Bon, je vais te laisser, je dois aller me préparer.
— Pas de soucis, cela m'a fait plaisir de te revoir chez McLaren, dit-il en partant chercher Lando.
Notre espagnol partait vers Ferrari retrouver son équipe. Il devait parler de son idée à Charles.
Il cherchait son teammate dans l'hospitalité. Il le trouve avec Andréa, son physio, alors qu'il le laisse avec lui. Il se dit qu'il lui parlera après la course.
