La Naissance d'un Ange

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POV de Carli

Je me levais de mon lit difficilement à cause de mon gros ventre. La vie de femme enceinte c'est pas toujours facile. C'est dingue, depuis que je suis au courant de ma grossesse, le poids que j'ai pris en seulement 1 mois. Le déni de grossesse ça fait des miracle. Je n'aime pas ça être gosse et enceinte. C'est fatiguent et en plus de ça j'ai perdu tout ma masse musculaire.

J'arrive bientôt à terme, je suis impatiente de rencontrer mon bébé, mais en même temps j'ai peur de ce qu'il pourrais bien lui arriver dehors, car il est en sécurité dans mon ventre. Il y a aussi l'accouchement qui me terrifie, je ne sais pas comment ça va se passer.

***

- Aaaaahhhh !

- Sa va aller Carli.

Sa fait encore plus mal à chaque contraction. Quel horreur, j'ai l'impression que je me fait couper en deux. C'est insupportable !
Thomas et Newt sont avec moi il me tienne chacun une main. C'est très rassurent de les savoir à coter de moi. Il me soutienne dans cette étape.

- Il va falloir pousser.

Je pousse aussi fort que je le peut, mais cette douleur me donne envie de mourir. Je retire ce que j'ai dit je préfèrerais me faire couper en deux. Pourquoi cela fait-il aussi mal ?
Je regarde mon frère dans les yeux pour trouver du soutien, mais je n'en trouve pas du tout, il est totalement désemparer. Mais il faut que je fasse de mon mieux pour que cette accouchement se passe le mieux possible car dans la situation ou nous somme, s'il y a des complication je pourrais ne pas survivre à l'accouchement. Mais à quoi bon si c'est pour souffrir autan.

- Thomas ?

Il se tourne vers moi et me regarde.

- Tu prendras soin du bébé ?

- Bien sûr pourquoi tu me demande ça ? Je serais toujours là pour toi.

- Tu prendras soin de lui, je veux pas qu'il se retrouve tout seul.

- Non, je t'interdit de dire ça. Tous vas bien de passer et tu vas élever cette enfant, on vas retrouver Minho et tu vas lui présenter son neveu ou sa nièce. Et tout va bien de passer tu n'as pas à t'en faire, d'accord. Avais intervenu Newt.

- Mais comment cela pourrais bien se passer ? Je suis seul !

- Non tu n'aies pas seul on est là avec toi. Me dit Thomas.

- Pousser !

Je pousse de tous mes force et c'est là que j'entant des pleur, ses pleur, les pleur de mon enfant. Les garçon s'écart de moi pour mieux voir mon bébé.

- C'est une Fille ! Dit Thomas.

C'est la dernière chose que j'ai entendu avant de fermer les yeux. Je n'entends plus rien à pare un bourdonnement et les battement de mon cœur. Je suis si bien comme ça, il n'y a plus de douleur plus de contraction, je suis apaiser. C'est si agréable que je pourrais rester comme ça pour l'éternité.
C'est ça la mort ? Es si agréable ? J'ai toujours cru que la mort consistais à s'éteindre et à ne plus rien ressentir n'y penser.

C'est peut-être ça qui me fallait, je pourrais peut-être le revoir et arrêter de vivre avec lui.

Mais es vraiment ce que je veux ? Non je veux vivre même si c'est pour souffrir de son absence, je veux vivre et élever se petit être que j'ai créé et qui me vient de lui. Je veux être Maman.

A cet panser j'ai l'impression que je ne peux pas retourner en arrière, que je suis coincer ici là ou je ne sers à rien. Cette penser me rend triste, je ne pourrais jamais rencontrer ma fille la prendre dans mes bras et l'aimer.

Je préfèrerais encore rien ressentir, que de me sentir bien et que je regretter ma vie.

***

J'ai l'impression que sa fais des mois que je suis comme ça, le temps passe si lentement.

J'ai cette impression d'être aspirer par le néant, mais c'est quand j'entant une voix que je comprends que je ne suis pas morte. Je ne sais pas si cette voix me parle, je ne comprends pas ce quel dit.

Mais les son extérieur sont de plus en plus fort, mes tippent vont exploser si ça continu. Mais c'est quand il n'y a plus un bruit que je peux ouvrir les yeux.

La lumière me brule la rétine. Je dois m'habituer à la luminosité de la pièce. Je suis sur un lit, le même lit où j'ai accoucher. D'ailleurs j'ai cet désagréable impression qu'il me manque une partie de mon être. Ce n'ai pas gênent mais c'est... bizarre.

C'est quand je m'assois sur le lit que la douleur revient à la charge. Douloureux mais supportable.

Je me regarde sous tous les couture et je remarque que mon ventre est moins gros que quand j'étais en train d'accoucher. Mais bon je ne vais pas aller me plaindre.

Je m'assois au bord du lit et me lève, j'aurais cru ça plus compliquer après la douleur de l'accouchement mais je n'ai pas plus mal que ça en fin de compte. Je suis bien au même endroit que l'osque que j'accouchais, dans l'infirmerie du camp. Je sors de l'infirmerie qui es délimiter par une tente et je profite du soleil qui touche mon visage. Le camp à changer depuis la dernière fois il est plus grand. Des petit tente ont été mis en place.

J'observe les alentour quand des pleur me sorte de ma rêverie. Il vienne d'une tente juste à coter. C'est pleur m'attire instinctivement. J'ai besoin de trouver la personne qui pleure.

Je rentre dans la tente il n'y a presque rien, que quelque meuble et un lit pour bébé. Je m'avance et je regarde dans de berceau, et elle est là, ma moitié manquante, je l'ai retrouver. Je la prend dans mes bras et l'examine. Elle est magnifique elle a de léger cheveux blond sur la tête et de toute petite joue qui sont à croquer.

Quand elle ouvre les yeux je suis stupéfaite, pas parce qu'elle a arrêté de pleurer mais parce que ses yeux sont une magnifique copie des siens. Elle me regarde aussi, elle m'observe. Je remarque que je pleure quand un larme tombe sur la joue de mon petit ange. Je reste là, à la regarder.

Très vite la douleur revient, j'ai la tête qui tourne. Je ne veux pas la laisser là, je veux garder ma moitié avec moi. Donc je sors de la tente et re rentre dans l'infirmerie, retourne sur mon lit et continu de l'admirer.   

Mes Raisons de VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant