Gabrielle

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POV de Thomas

Je me dirige vers la tente de ma petit nièce. On lui a pas encore trouver de prénom, donc je la surnom petit puce. On attente que Carli se réveille pour lui en trouver un. Même s'il y a de moins en moins de chance qu'elle de réveille. On perd un peu tous espoir au fil des jours, j'ai de plus en plus peur car elle aussi elle avait perdu espoir et si elle ne veut pas vivre elle ne pourra pas survivre. Mais si elle ne se réveille pas j'accomplirais ce qu'elle me demander et je m'occuperais de sa fille comme si c'était la mienne.

Je rentre dans la cabane et remarque qu'elle doit dormir car elle ne pleure pas. Elle passe son temps à pleurer elle doit savoir d'une certaine magnanière que sa mère va mal. Elle doit lui manquer et se sentir seul après tout elle était relier a elle donc ça doit faire bizarre de se retrouver seul sens cette elle.

Je me rapproche du lit et enfaite-t-elle ne dort pas, elle est tout simplement plus là. Mais qui a bien put la prendre, que quelques personnes son autoriser à s'occuper d'elle et on était tous ensemble juste avent.

Je commence sérieusement à m'inquiéter. Je vais tuer Newt car il a dit je site "On est pas obliger de rester la regarder quand elle dore. Tout le monde sais que sinon tu vas leur tomber dessus quand tu sauras qui la toucher" Donc aujourd'hui je vais faire deux meurtre la personne qui a osé toucher à ma petit puce et Newt.

Je sors de la tente et regarde dans les tentes aux alentour trop stresser pour prendre le temps de demander à quelqu'un s'il là vu. Les personne à coté de qui je passe me regarde bizarrement mais je m'en préoccupe pas.

Je passe devant l'infirmerie, je n'aime pas y entrer car à chaque fois c'est pour qu'on me dis que son état ne s'améliore pas et je n'aime pas non plus voir l'état dans lequel elle est, elle a l'aire morte et je n'aime pas m'imaginer perdre ma sœur.

Mais j'y entre quand même pour vérifie.

Ce que je voie me coupe le souffle ma sœur et sa petit fille dans ses bras.

- Carli ?

Elle se tourne vers moi et me regarde et me sourit. Je suis tellement soulager, d'un car ma nièce n'est pas en danger et de deux car ma sœur est la devant moi et quel va bien.

- Elle est magnifique. Me dit-elle.

- C'est vrai, j'ai horreur de l'admettre mais ça fais un bon mélange.

Elle rigole en silence et elle retourne son regard vers sa fille. Je m'approche d'elle et elle se décale pour me laisser une place à coter d'elle, je mi installe et l'entoure de mes bras.

- Je suis tellement soulager, tu peux pas savoir à quel point j'étais terrifier de te perdre.

- Je suis plus forte que j'en ai l'aire.

- Et dire que tu me faisais déjà peur, dis-je pour blaguer. Non mais plus sérieusement tu avais abandonné. Le truc que je croyais improbable. Comment j'aurais pu continuer si toi la personne la plus forte que je connais avait abandonner.

- J'aimerais bien t'y voire toi, tu la pas ressenti la douleur ?

- J'ai eu la main broyer quand même.

- Excuse-moi ! Mais j'ai sorti un être vivent de mon corps.

- Je sais, je dit ça pour t'embêter, dis-je en rigolent.

- Il c'est passer quoi ?

- Le placenta c'est déchirer, tu as perdu beaucoup de sang et vu que tu ne t'éveillais pas on a eu très peur.

Mes Raisons de VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant