Toi et Moi contre le reste du Monde

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POV de Gally

Je la regarde, Carli, cette femme, de qui je suis tombé éperdument amoureux.

J'ai une fille et j'ai du mal à y croire.

- Je peux la voire ?

- Bien sûr.

Elle me prend la main et on remonte sur la terre ferme. Elle m'emmène jusqu'au camp. Il fait nuit et le feu au milieu du camp éclaire une bonne parti de celui-ci.

Elle me lâche la main et continu son chemin vers le feu ou elle y trouve Minho avec un bébé dans les bras. Je me suis arrêter, j'ai peur, c'est dingue. J'ai le traque et si elle ne m'appréciais pas.

Carli revient vers moi.

- Arrête de te faire des nœuds au cerveau.

Je souri à sa remarque que j'ai utilisé plus tôt.

- Mais si elle ne m'appréciais pas.

- Je peux pas te dire que c'est qu'un bébé, et qu'elle comprend rien, car c'est pas vrai ! Elle pleure quand je suis loin d'elle trop longtemps, elle dors pas si je suis pas dans la même pièce ! Quand je lui ai dit pour Newt, elle a pleuré !

- Calme toi Carli. Lui dis-je en essuient les larmes qui coule sur son visage avec mon pouce.

- Je suis désoler.

- Ne t'excuse pas. Tu as le droit.

- Vient avec moi s'il te plais, ne me fait pas ça, pas après tout ça. Je pourrais pas supporter de te perdre.

- Il ne m'arrivera rien si je suis avec toi. Toi et moi contre le reste du monde, pas vrais ?

Elle m'offre le sourie le plus sincère au monde et repart près du feu, je la suis cette fois ci.

- Gally vient la ! M'appelle Minho. Elle a-t-on nez ! Me dit-il quand je suis à coter de lui.

Carli s'approche de Minho et la prend dans ses bras et elle se rapproche de moi.

- Gabi je te présent Gally, c'est ton Papa. Gally voici Gabrielle ta petite fille.

Gabrielle c'est jolie, j'aime beaucoup.

- Tu veux la prendre ? Je crois qu'elle en a envi.

La petite tend ses petit bras dans ma direction.

- Eh, je sais pas, j'ai jamais tenu de bébé.

- Je te montre. Tu peux la tenir droite comme elle est assez grande, mais il faut toujours tenir sa tête. Comme ça.

Sens vraiment m'en rendre compte je me retrouve avec un bébé dans les bras. Je peux l'admirer d'un peu plus près. Même si elle n'ait qu'éclairer que par la lumière de feu elle reste magnifique.

- Tu dois pas très bien la voir, mais je peux te la décrire ?

J'hoche la tête et elle commence son récite. Alors que je m'assois sur un banc toujours avec ma fille dans les bras. Carli s'assois à coter de moi.

- Elle a tes magnifique yeux bleu et tes cheveux même s'il reste plus claire car ceux son ceux de bébé. Elle a un très beau sourire et son rire il ressemble au mien. Elle aime bien se moquer quand elle trouve quelque chose de drôle. Elle a un sale caractère. J'ai pris plusieurs semaines à lui faire avaler autre chose que mon lait...

Et elle a continué comme ça pendant au moine une heure. Minho étais aussi passionner que moi, intéresser à en apprendre plus sur sa nièce. C'est dingue à quel point Carli est passionner par tout ce que sa fille peut accomplir. Notre fille.

- Alors comment ça va les parents ! demande Vince en arrivent vers nous.

- Chut ! Elle sait endormie. Leur dis-je.

Mais ils me regarde tous les deux stupéfaits.

- Alors ça j'en crois pas mes yeux. Dit Vince.

- Qu'es qu'il y a ?

Carli me regarde avec un grand sourire.

- Rien de grave ne t'en fait pas. C'est juste que jamais personne n'arrive à l'endormir, à par moi. C'est une bonne chose Gally. Ça veut dire qu'elle a confiance en toi et qu'elle t'apprécie.

Je suis moi aussi surprit je ne pensais pas qu'elle allais s'attacher aussi vite et encore moins me faire confiance.

- Tu viens avec moi, on va aller la coucher. Dit Carli en me fessant un clin d'œil et en me tendant la main.

- Ouais. Dis-je, pas sur des signe qu'elle m'envoie.

Je la suis jusqu'à sa tante et elle me fait entrer. Elle me montre le lit de notre fille. Je la pose le plus délicatement possible, sens la réveiller. Je me retourne vers mon amour et la regarde. Je m'approche d'elle et la prend dans mes bras.

- Tu voie ? Tu avais pas à t'en faire. Elle t'aime déjà j'en suis sûr.

- Je suis désoler de ne pas avoir été là pour toi.

- Ce n'ai pas ta faute.

- Si ! J'aurais dû te suivre dans le Labyrinthe et je suis désoler de pas avoir été là. Je suis désolé que tu aies dû traverser cette étape toute seul.

- Mais j'avais Thomas et ... Newt. Je n'étais pas seul...

- Je voulais pas te le dire, mais après qu'on se soit revu... Newt m'a dit pour l'accouchement.

- Quoi ? Elle s'écarte de moi.

- Non ! Enfin il n'a pas parler de grossesse, ni du bébé et tout le reste. Il m'a juste dit que tu avais faille mourir, et que ça avait un rapport avec la chose qui allais m'aider à me faire pardonner, j'en ai conclu tout seul qu'il parlais da Gabi et de l'accouchement.

- Je vois... je...

Je sais pas quoi dire. Je sais pas si mes explication son compréhensible ou pas.

- J'ai bien faille mourir pendant l'accouchement, c'est vrai. Il y a eu des complication et la douleur étais tellement insupportable que sur le moment j'ai abandonné. Je ne me suis sentie seul, même si les garçons étais là. Je me sentais seul comme tu n'étais pas avec moi. Je ne me voyais pas vivre et encore moine élever un enfant sens toi.

Elle pleurais les larmes coule sur son visage. Je m'avance pour les essuyiez mais elle m'attrape par le main et finit par coller nos lèvres ensemble. Je sens le gout saler de ses larmes sur mes lèvres.

Je l'embrasse encore et encore, mélangeant ma salive avec la sienne. Nos langue danses ensemble dans une valse endiabler. Malgré le manque d'aire je ne m'arrête pas et cela à continuer tout la nuit.

Mes Raisons de VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant