Chapitre 23

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Partie 7 : Spider Man, Homecoming

Quatre mois était passés depuis la bataille des Avengers en Allemagne

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Quatre mois était passés depuis la bataille des Avengers en Allemagne. La routine s'était installée entre les cours, la maison et les sorties.

J'avais finalement accepté de signer des Accords modifiés. Entant mineure, le gouvernement avait fini par accepter que je sois entièrement sous la responsabilité des Avengers, plus particulièrement d'Iron Man puisqu'il s'agissait de mon père et non de l'état. Ça me laissait un peu plus de liberté. Après tout, il était plus facile de désobéir à mon père qu'à 117 nations. Ce n'était pas l'idéal mais déjà bien mieux que ce qu'ils avaient prévu au départ.

Papa était parti en voyage pour quelques temps. Deux ou trois semaines d'après ses dires. Il s'était disputé avec maman à chaque fois qu'ils s'étaient croisés et voulait relâcher un peu la pression. Je m'en voulais un peu parce que, même si je n'étais pas le sujet central de ces coups de colère, je savais que j'y étais liée. Depuis ma fugue pour rejoindre l'équipe de Rogers, leurs prises de tête étaient bien plus fréquentes.

Aujourd'hui, je n'étais objectivement en aucun cas concentrée sur ce que racontait le professeur. Mon regard était attiré par un garçon deux rangées devant moi.

Durant ma semaine de confinement, j'avais eu le temps de faire quelques recherches sur l'optimisé que mon père avait recruté pour notre face à face. Spider Man. Quelle fut ma surprise quand j'ai découvert que le garçon en question était non seulement dans mon lycée mais aussi dans la même classe que moi.

Peter Parker.

Lorsque la sonnerie retentit, je ramassai mes affaires et décidai de me rendre à la Tour Avengers au lieu de rentrer directement à la maison. Papa avait décidé de la vendre étant donné que le quartier général était bien plus sécurisé et plus moderne. Les déménageurs étaient entrain de tout emporter et j'avais envie de passer un peu de temps là bas avant que cela ne nous appartienne définitivement plus.

- Salut, le débile, dis-je en voyant le robot aider le personnel.

Je récupérai un livre dans l'un des cartons et le glissai dans mon sac.

- Vous pouvez emmener ce carton en priorité, s'il vous plaît ?

- Bien sûr, je le charge de suite.

- Merci.

Je descendis dans l'ancien atelier de mon père. Il y avait tant de souvenirs ici. C'était difficile de dire au revoir à tout ça. Mais les choses avaient changé en 5 ans.

- Non, pose ça. Ça vaut plus que toi ou moi.

La voix d'Happy me fit sourire. Je remontai pour le trouver au téléphone.

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