H.Fort
Vendredi 12 juillet. 8:34.Actuellement accompagné de ma chère maman dans la voiture, elle m'emmène à l'entraînement.
Hier, j'ai décidé d'aller au restaurant avec mes parents. Un où nous avions l'habitude d'aller quand j'étais plus petit. Mes parents sont les personnes les plus importantes pour moi. Ils m'ont toujours soutenus et aidés si besoin, dans chaque choix que j'ai pu faire depuis ma naissance. Ils m'ont donnés tout l'amour possible qu'un enfant puisse recevoir.
Ils ont toujours laissés tout de même mon espace vitale. Ils sont pas parfaits, comme tout le monde. Mais ils ont sûr être là pour moi sans me sûr-protéger et en me fermant certaines barrières.Nous arrivons au stade, quelques fans par ci par là nous attendent, comme chaque jours.... Nous entrons afin d'accéder au parking sans s'arrêter, je suis encore fatigué et je n'ai qu'une envie, c'est de m'entraîner. Ma mère se gare, je l'embrasse avant de sortir de la voiture. « À tout à l'heure » Lui dis-je avant de fermer la portière. Je dis bonjour au personnel que je croise avant de me diriger vers les vestiaires. Je retrouve mes coéquipiers avec qui je vais passé la plupart de ma matinée, je leur donne une poignée de main avant de commencer à me changer.
Je retire mon pull avant d'enchaîner avec mon t-shirt. Je prend mon maillot lorsque je sens une main se poser sur mon épaule gauche. Je détourne mon regard vers cette personne lorsque je vis un de mes coéquipiers, Ferran.
⁃ Bah alors, c'est que t'as bien pris des bras mon gars ! J'avais pas fais attention. T'as de belles épaules. Excuse nous le jeune homme devient de plus en plus beau !
Je ris face à sa remarque, il est tout aussi bien bâti que moi, même plus.
⁃ Merci Ferran ça me fais plaisir, toi aussi t'es plutôt bien foutu. T'as été gâté.
⁃ Arrête tu vas me flatter !
Nous rions ensemble, il est vrai que grâce aux entraînements intensifs j'ai bien pris, même si j'avais déjà un corps sculpté, il s'est encore mieux dessiner. Tout le monde se change, parlant avec un peu tout le monde. Moi je discute avec Marc, mon ami, mon frère depuis le début, depuis tout jeune.
⁃ Grouille mec ! T'es dans tes pensées depuis cinq bonnes minutes, ramène ton fessier !
Je me retournais vers Marc, j'étais dans mes pensées depuis cinq bonnes minutes ? Je n'avais même pas remarquer. J'enfile rapidement mes crampons puis le suis sur le terrain.
*****
Mercredi 12 juillet. 12:30.⁃ Alors, ta mère est pas encore là ? Me dit Marc.
⁃ Nan pas encore, y'a eu des accidents sur la route, elle doit arriver dans une dizaine de minutes je pense.
⁃ D'ailleurs, c'est qui qui t'a ramené Lundi ? Je ne t'ai même pas vu partir. Sale ingrat tu ne me dis même pas au revoir ?
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[ 𝐋𝐨𝐯𝐞 𝐦𝐞 𝐇𝐚𝐫𝐝𝐞𝐫 ]
Lãng mạn« - Alors arrête de t'obstiner idiot je ne veux pas qu'on souffre. - Excuse moi Cariña. »