Chapitre 8

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Point de vue Justin

Je la voyais avec ce gars, en train de parler et de sourire, en plus ce mec n'arrêtais pas de la toucher! Je commençais à m'énerver et m'approchais d'eux. Je rêve?! Elle est complètement sous son charme! Et en plus il vient de lui passé un papier... Un numéro de téléphone?

- Qu'est ce que vous foutez, bordel!?

Ils se retournèrent tous les deux en même temps, et le sourire de Lyne disparu à ma vue. Trop drôle.

- Ramène-toi tout de suite!

Le mec allait dire quelque chose mais Lyne le retenu.

- J'arrive.

Et elle lui parla en chuchotant.
Elle couru me rejoindre et il lui cria:

- Je ne connais même pas ton nom!

Elle sourit et quand elle allait crié son prénom je lui dis d'un ton froid:

- Si tu lui dis ton prénom, tu ne reverras plus la lumière du jour.

Son sourire disparu une nouvelle fois et elle se retourna. Je regardais une dernière fois le mec en lui faisant un doigt d'honneur.

Non pas que j'étais jaloux, ce serait le comble ça. Juste que les filles que je kidnappe sont ma propriété.

Nous nous dirigions vers la voiture et nous entrions dedans. Une fois à l'intérieure je la regardais.

- Qu'est ce que ce type t'a donné.

- Rien du tout.

- Te fous pas de ma gueule.

- Il m'a donné son numéro de téléphone mais je lui ai rendu.

- Je t'ai dit de ne pas de foutre de ma gueule.

- C'est la vérité!

- Et tu penses que je vais te croire?! Donne-moi le papier.

- Non.

- Tu veux que j'aille le chercher moi même?!

Je la vis sortir un papier de sa poche et me le tendre à contre cœur.
Je le pris sans même le regarder et le déchirais sous ses yeux, éparpillant le reste dans la voiture.

- Et quand lui aurais-tu téléphoner?! Tu peux me le dire?!

Elle ne répondit pas.

Je démarrais la voiture et pris la route vers la fête.

Point de vue de Lyne

Il avait déchiré le papier. J'essayais de ramasser les bouts, mais c'était mort. De toute façon ce n'était pas comme si j'allais le rappeler, il était certes mignon mais je ne sortais pas avec des inconnus croisés sur le parking d'un hôtel glauque.

La seule chose qui m'énervait vraiment c'était le psychopathe à côté de moi. C'était quoi cette réaction? J'avais le droit de parler à qui je veux quand même.

En un instantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant