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The 100 : Bellamy

🔞🔥 ATTENTION LEMON🔥🔞
C'est vraiment un lemon avec des détails donc si vous n'aimez pas ça il faut mieux ne pas lire :)
Je vous aurais prévenus :D
@SamiraMorgan36 désolée pour l'attente, bonne lecture :)

Une semaine. Ça faisait déjà une semaine qu'on nous avait envoyé sur la terre. Une semaine qu'on travaillait d'arrache pied pour construire un endroit potable où l'on puisse dormir. Une semaine que Bellamy a pris les commandes sans rien demander à personne. Je rejoignais Octavia au feu de camps et m'assis à côté d'elle. Elle me donna un bout de viande cuit.
- Tu as trouvé ça où ? Lui demandais-je.
- Bellamy et ses amis sont allés chasser.
- On ne sait même pas si c'est mangeable.
Elle me regarda en souriant.
- Dit plutôt que tu ne veux pas manger parce que c'est mon frère qui l'a rapporté.
Je secouais la tête.
- Pas du tout.
Elle leva les yeux au ciel.
- Ce n'est une nouvelle pour personne que vous vous détestez. Mais ce que j'aimerai savoir...
Elle marqua une pause pour boire.
- .... c'est pourquoi ?
Je détournais les yeux, ne sachant pas quoi répondre. C'est vrai qu'on ne s'appréciait déjà pas beaucoup sur l'arche mais ici, j'ai l'impression que ça a empiré. Peut-être parce qu'il se sent si important qu'il a fini par croire que c'est vrai. Peut-être parce que quand je le vois tout le temps sortir de sa tente il y'a toujours une fille qui se rhabille avec lui.
- Je le déteste c'est tout.
Octavia rigola.
- Je paris que tu finiras par l'apprécier.
Elle se leva et partit rejoindre Clark.
Pendant que j'étais perdue dans mes pensées, Jasper me rejoignit.
- Elle n'a pas tord, dit-il.
- De quoi ?
- Si tu essayais de le connaître je suis sûre que tu l'apprécierais.
- N'importe quoi.
Je finis par me lever et trouer un coin assez confortable pour dormir.

C'est Murphy qui me réveilla en me secouant comme un prunier. Je le redressais vivement et m'écartais de lui. Je ne pouvais vraiment pas blairer ce type. Comment Bellamy faisait pour lui faire assez confiance pour lui filer une arme ? Ça me dépassait. Je ne voulais pas rester une minute de plus à ses côtés alors je m'empressais de partir et de trouver quelqu'un que je connaissais. Ce fut Octavia qui me trouva la première. On passa la journée ensemble à ranger le garde mangé. À bout d'un moment son frère arriva. Il lui ordonna de nous laisser seul. Elle le fit. Quinze minutes plus tard. Quand on fut enfin seul il se tourna vers moi.
- Je ne veux plus que tu traines avec elle.
- Quoi ?
- Tu as une mauvaise influence sur elle.
J'écarquillais les yeux.
- C'est un pauvre type qui traine avec un mec comme Murphy qui dit ça ? Mais pour qui est-ce que tu te prends ?
- Ne t'approches plus de ma sœur.
Et il partit.
Trois jours plus tard, Octavia décida de prendre les devants. Elle m'obligea à tout lui raconter, parce qu'évidemment je n'avais rien dit. Je ne voulais pas dire des choses regrettables devant elle. Surtout que c'est son frère et que mon envie de l'insulter est plus forte chaque seconde. Mais en ce moment je n'en avais plus rien à faire. Alors je lui dis tout. Comme je l'avais deviné, elle était furieuse contre lui. Mais d'un coup elle se calma sans que je sache pourquoi.
- Vous êtes vraiment tendus tous les deux. Vous feriez mieux de vous envoyer en l'air pour vous détendre.
Je faisais mine d'être choquée mais bizarrement cette idée ne me rebutait pas.
Le lendemain je ne tiens plus et finis par aller rejoindre Bellamy. Il se trouvait à côté des rations.
- Je veux savoir un truc, dis-je sèchement.
Il ne faisait que me regarder. Je pris ça pour des encouragements à m'inciter à continuer.
- Pourquoi est-ce que tu crois que tu es le mieux placer pour tout commander ?
Il soupira et se dirigea vers sa tente. Je n'hésitais pas à le suivre. Hors de question qu'il se défile. Cette conversation n'était pas terminée.
- Bellamy ! Je t'ai posé une question !
- Et qu'est-ce que tu veux que je réponde ? Tu aurais préféré que je ne fasse rien et que je laisse tous ces jeunes se débrouiller ?
- Pourquoi est-ce que tu nous sous-estimes autant ?
Il se rapprocha dangereusement de moi. Son visage était à quelques centimètres du mien quand il reprit la parole.
- Donnes moi le nom d'une seule personne qui aurait été capable de faire tout ce que j'ai fait.
Je me contentais de le fusiller du regard. Je n'avouerais jamais qu'il a raison, plutôt me faire tuer par un natif. L'atmosphère dans la tente était tendue. On ne pouvait pas se supporter tous les deux, ce n'était pas nouveau pourtant je me surpris à ne pas le repousser quand il commença à m'embrasser violemment. Sa bouche s'écrasa sans aucune douceur sur la mienne pendant que ses mains prirent positions sur mes hanches. J'enroulais mes bras autour de son cou pour le rapprocher encore plus près de moi. Je ne sais pas ce qu'il nous arrivait mais j'aimais ça. Mais qu'est-ce qui est en train de se passer ? On était en train de se disputer et maintenant je me retrouve avec sa langue dans ma bouche. J'aurais dû faire quelque chose, le repousser ou je ne sais quoi, mais j'aurais dû réagir négativement au lieu d'essayer de le rapprocher encore plus près de moi. Je ne sais comment c'est arrivé mais je me retrouvais assise une table de fortune qu'il a construit lui même. Nos bouches ne se lâchaient quasiment pas et ses mains étaient partout sur mon corps. J'arrivais à lui enlever son haut et pus mieux le toucher. Je sentais sa peau frissonner sous mes doigts, son cœur battre à tout rompre. Il se détacha de mes lèvres pour déposer des petits baisers tout le long de ma gorge. Il grogna quand il rencontra mon tee-shirt. Il s'empressa de me l'enlever ainsi que mon soutient-gorge puis continua sa descente. Mes doigts se glissaient dans ses cheveux pendant que je rejetais la tête en arrière. Je ne pensais pas que de simple baiser pouvaient être si intense, surtout avec Bellamy. Il écarta mes jambes pour se placer entre elles et je pus sentir quelque chose de dure se presser contre moi. Je ne pensais pas que je pouvais lui faire un tel effet, j'aurais plutôt tendance à dire qu'il voulait me tuer. Sa langue lécha doucement l'un de mes tétons durcis avant de le mordiller. Je me retiens de justesse de gémir mais mes mains se firent plus insistance dans ses cheveux. Mes jambes s'enroulèrent atour de sa taille mais il me stoppa net. Je pensais qu'il voulait tout arrêter mais non. Il s'empressa d'enlever son pantalon et son boxer. Je pus avoir une vue imprenable sur son sexe dressé. Je fus stoppée de ma contemplation par des doigts impatients qui ouvrirent mon jean. Je l'aidais à me l'enlever du mieux que je pouvais et une fois débarrassée de tous mes habits, je le ramenais vers moi. Les jambes reprirent sa place autour de ses hanches. Une de ses mains agrippa ma cuisse et me la suréleva. Je m'accrochais à ses épaules comme si ma vie en dépendait. Quand je sentis le bout de son gland rentrer en moi, je compris que depuis le début je l'appréciais beaucoup. Peut être un peu trop. Il entrait lentement en moi, comme s'il avait peur de me faire mal. J'ouvris les yeux que je n'avais pas conscience d'avoir fermés quand il fut complètement en moi. Je tombais sur un regard marron emplit de désir. Il ne me lâcha pas des yeux quand il commença doucement à faire des vas-et-viens. Son rythme était peut-être lent mais il revenait en moi violemment, si bien que je commençais à perdre la tête. Mes ongles s'enfonçaient dans son dos mais ça n'avait pas l'air de le déranger plus que ça. Son front posé sur le mien, je pouvais entendre chacune de ses respirations. De temps en temps, elles se bloquaient puis repartaient juste après.
Ça faisait presque dix minutes qu'il jouait avec mes nerfs en faisant exprès d'y aller trop lentement que je ne pus m'empêcher de parler.
- Bellamy...., gémis-je, plus..... vite.
Je voyais bien qu'il n'avait pas l'intention de le faire alors grâce à mes jambes autour de lui, je réussis à vivement le rengainer en moi. Il gémit sous la surprise. Maintenant qu'il avait assez jouer avec moi, je reprenais les choses en main. Je m'allongeais sur la table en l'emportant avec moi, je le maintenais en place comme je le pouvais et commençais, tant bien que mal, à bouger mon bassin. Ce n'était pas pratique mais je m'en foutais. La table n'était absolument pas confortable et mon dos commençait à me faire mal. Comme si Bellamy avait lu dans mes pensées, il arriva à me soulever puis me reposa délicatement sur le lit de camp. Il se plaça au-dessus de moi et reprit ses mouvements de bassin. Son nez était enfoui dans mon cou et respirer mon odeur. L'une de ses mains avait migré sur ma hanche alors que l'autre entrelaçait nos doigts ensembles. Plus le temps passait plus une chaleur agréable se faisait plus présente au creux de mes reins. De ma main libre je m'accrochais à son épaule. Ses vas-et-viens étaient devenus rapides et profonds.
- Bel, réussis-je à dire juste avant que l'orgasme ne s'abatte sur moi.
Il me fallut au moins cinq minutes avant de reprendre mes esprits. Je retrouvais Bellamy allongé à côté de moi, nos épaules se touchant. Depuis tout ce temps il ne m'avait toujours pas lâché la main. On se regarda longuement avant de sourire.
- On aurait dû faire ça depuis le début, dit-il d'une voix fatiguée.
Je ne pouvais que l'approuver. Il m'attira plus près de lui et je m'endormis en entendant les battements réguliers de son cœur.