IMAGINEZ

Divergente : Éric

🔞ATTENTION LEMON🔞
Commande de @kblxnde
Bonne lecture :)

Je n'avais vraiment pas à réfléchir pour savoir quelles factions j'allais choisir le jour du choix. J'étais née audacieuse et je suis restée audacieuse. Étant une natif de cette faction, j'étais entraînée à l'écart des transferts. Mais ça ne m'empêchait pas d'aller voir comment se passait leur initiation.

Il y avait deux garçons qui sortaient du lot. Forts, musclés et habiles tous les deux, c'est pourquoi ils n'ont eu aucun mal à être premier et deuxième de leur classement.

L'un se faisait surnommer Quatre, personne ne savait son véritable nom. Après tout c'était son choix. Nouvelle faction, nouvelle identité, nouvelle vie.

Le deuxième s'appelait Éric, un transfert des érudits. Il a vite voulu casser son image d'intello en se faisant tatouer et percer.

C'est un soir où je frappais dans un sac pour décompresser qu'il était entré dans la pièce. Le lendemain nous saurions si nous avions réussi ou échoué nos tests finaux. Notre avenir était en jeu et je ne pouvais pas rester les bras croisés sans rien faire. Je devais faire quelque chose pour passer le temps. Et je n'avais trouvé rien d'autre à faire que frapper.

Il s'était tout de suite dirigé vers moi et me parla tout le long de la nuit. Nous étions vite devenus proches, comme si on se connaissait depuis longtemps.

Et nous étions là, devant le tableau affichage encore masqué par un drap. Il était à mes côtés, me soutenant moralement.

Je n'avais pas trop de souci à me faire. J'avais remporté tous mes combats, loupé aucunes cibles. Je n'avais pas mis plus de cinq minutes à chacune des simulations.

Et je ne fus pas déçue quand le drap tomba et laissa voir le classement. J'étais troisième, juste après Quatre et Éric. Je m'empressais de le prendre dans mes bras tout ne le félicitant. On était maintenant des audacieux.

Il n'y a pas un seul jour que je passe sans voir Éric. On ne se quittait plus. J'allais tous les soirs dans sa chambre et nous pouvions passer des heures à parler.

Sauf que ce soir là, la tension qui s'était installée entre nous peu à peu finit par exploser. C'est pourquoi je me retrouvais nue, allongée sur son lit. Il était au-dessus de moi, torse dévoilé, et faisait parcourir sa bouche sur tout mon corps.

Depuis le temps que j'attendais ça, je ne pouvais qu'apprécier ce qu'il me faisait. Et autant dire que c'était divinement bon. Je ne retenais pas les gémissents qui franchissaient ma bouche. Ça semblait même l'encourager.

Il remonta vers moi en laissant sa langue traîner sur mon corps. Alors qu'il s'occupait de conquérir ma bouche, je lui enlevais son pantalon et son boxer. Je ne faisais que passer une main aérienne sur toute sa longueur et ça eut le don de l'exciter encore plus.

Il s'assit sur ses genoux et m'entraîna avec lui. Il me retourna et colla mon dos contre son torse alors qu'il s'enfonçait doucement en moi. Il entoura mon corps de ses bras alors que je laissais ma tête reposer contre son épaule.

Il bougeait son bassin de manière saccadée alors que j'essayais de l'accompagner. Il finit par m'attraper l'intérieur des cuisses et caresser cette peau sensible. Mes mains s'agrippèrent à ses avant-bras musclés alors que je sentais son sexe bouger plus vite en moi.

Quinze minutes plus tard, on s'écroula sur son lit, mort de fatigue. Une chose est sûre, on avait bien l'intention de recommencer.