The 100 : Murphy

3.8K 120 6
                                        

🔞 GROS GROS LEMON 🔞
@survivor_soul
J'espère que c'est ce que tu voulais :)
Bonne lecture :D

Nous marchions depuis des jours à travers le désert. L'eau se faisait de plus en plus rare, ce qui n'arrangeait rien à l'humeur plus que massacrante de mes compagnons de voyage.
Le soleil nous brûlait la peau mal grès les vêtements que nous avions mis pour nous protéger des rayons.
Ça faisait des jours que nous suivions Jaha et je commençais sérieusement à me demander pourquoi. Mais la curiosité était trop grande, je voulais absolument voir cette cité des lumières.
C'est au bout de trois longues heures, qu'on décida de s'installer pour la nuit.
Après une journée à avoir marcher non-stop sous un soleil de plomb, je me sentais sale. Je rêvais de prendre une douche mais c'était malheureusement impossible. Notre repas du soir se résuma à du pain sec et quelques gouttes d'eau.
Il fallait absolument qu'on trouve une source pour s'approvisionner. Alors que je préparais mon coin pour me reposer, Murphy s'installa près de moi.

- Tu crois qu'on va réussir à trouver cette cité des lumières ? Me demanda-t-il.

Je haussais les épaules. Je commençais moi-même à avoir des doutes. J'avais bien remarqué que l'ex-chancelier avait complètement changé, et ça depuis qu'il avait appris la mort de son fils. Mais je devais avouer qu'il était devenu zen, trop zen pour qu'on ne s'inquiète pas pour sa santé mentale.
Franchement qui aurait eu l'idée de vouloir traverser un désert pour chercher quelque chose qui n'existe peut être pas.
Il a dû se prendre un sacré coup sur la tête quand il est arrivé ici et le nouvel air n'a pas dû arranger les choses.
Murphy me proposa sa gourde que j'acceptais. Je mourrais de soif mais la mienne était maintenant vide. Je faisais attention de ne pas trop lui en prendre et la lui redonnais.

Nous étions repartis dès l'aube et la chaleur montait en même temps que le soleil. C'était insoutenable. Je rêvais d'un endroit frais où je pourrais dormir tout le temps que je voudrais. Au lieu de ça on continuait à marcher.

C'était le soir et tout le monde dormait, à part Murphy. Il s'était isolé des autres pour soit disant réfléchir. Je le rejoignis et me plaçais à ses côtés. Il se contentait de fixer l'horizon mais je voyais bien à sa posture qu'il était que les nerfs.

- Tu sais que ça ne sert à rien de s'énerver, lui dis-je.

Il soupira.

- Parfois je me demande comment serait notre vie si on était né sur terre, dit-il. Avant la catastrophe, ajouta-t-il.

C'est vrai que je n'y avais jamais pensé avant.

- Tu te prends trop la tête, finis-je par dire. Il faut que tu décompresses un peu.

Il me regarda dans les yeux et je sentis mon ventre se contracter. Je voulais tellement.....

- J'ai envie de toi, chuchota-t-il.

Je fronçais les sourcils. Est-ce que j'avais pensé à voix haute ?

- Tu te fous de moi là !

- Non.

Il était sincère. Sans prendre le temps de réfléchir, je me jetais sur lui. Nos bouches se rencontrèrent violemment mais aucun de nous deux ne fit attention. Ses mains se baladaient sans retenue sur mon corps alors que les miennes en faisaient de même. Son tee-shirt fut bientôt mît de côté alors que je sentais une langue me lécher le cou. Je me mordais la lèvre inférieur pour m'empêcher de gémir mais je ne pus m'empêcher de passer une main dans ses cheveux et d'y exercer une légère pression. Je ne voulais clairement pas qu'il arrête. Je fus amener à m'allonger par terre alors qu'il me recouvrait de son corps. Il bougea sensuellement des hanches et son bassin rencontra le mien. Ma respiration se coupa quand il recommença et que je pus sentir son érection grandissante. Je réussis à passer une main entre nos deux corps et ouvris, non sans mal, son pantalon. Je touchais sa bosse du bout des doigts à travers son boxer, alors qu'il enlevait mon tee-shirt. Nos respirations commencèrent à être de plus en plus saccadées. Ses dernières couches de vêtement furent bientôt enlevées et je pus profiter pleinement de son corps.
Je ne réfléchis pas à deux fois avant de prendre son érection en main et de commencer un mouvement lent. Je l'entendis soupirer de bien être alors qu'il dégrafait mon soutient-gorge. Je fus gênée sous son regard de braise. Je ne savais pas trop comment réagir mais je n'eus pas le temps de protéger la poitrine de son regard, qu'il m'embrassa à pleine bouche. Sa langue traça un chemin le long de ma mâchoire, descendit jusqu'à mon cou et continua sa progression vers mes seins. Il lécha l'un de mes mamelons jusqu'à ce qu'il devienne dure et fit pareil pour l'autre. Il continua son chemin jusqu'à arriver à la barrière de mon pantalon. Il ne lui fallut que quelques secondes pour me l'enlever avec ma culotte. Il passa ses mains sur mes cuisses et me les écarta pour qu'il puisse mieux s'installer. Sa bouche enflera mon sexe avant qu'il ne me lèche l'intérieur des cuisses. Je sentais sa langue et ses dents sur cette peau sensible et je ne pouvais m'empêcher de gémir. Il me fit plusieurs suçons avant de passer sa langue sur mon clitoris. Ma respiration se coupa alors qu'il recommençait encore et encore. Il entra même sa langue en moi et fit plusieurs allers-retours. Il lécha une dernière fois mon sexe avant de remonter vers mon visage. Je pus reprendre son pénis en main et le masturbais durement. Il enfouit sa tête dans mon cou alors que je raffermis ma prise. Il bougeait le bassin en même temps que mes mouvements mais ce fut de plus en plus difficile pour lui alors que le désir montait. Je sentis sa main descendre le long de mon corps. Je retiens un gémissement alors qu'un de ses doigts entrait déjà en moi. Il fit quelques allés-retours avant d'en rajouter un deuxième. Ça tiraillait un peu mais quand ses doigts commencèrent à bouger j'oubliais tout le reste. On n'entendait plus que nos respirations saccadées. Mais j'en voulais plus. Beaucoup plus. Je le lui fis comprendre en enlevant délicatement ses doigts de moi et dirigeais son sexe vers le mien. Il me souleva le bassin et entra d'un coup en moi. La douleur fut vive et elle ne se calma que quand il commença à bouger. Je fus étonnée de voir que ses gestes étaient en parfaite oppositions. Il se rengainait en moi avec force alors qu'il m'embrassait tendrement le visage. Je passais mes mains dans son dos quand une chaleur naissante s'empara de mes reins. Elle grandissait encore et encore au fur et à mesure de ses coups de bassin. À intervalle régulier je me sentais me contracter autour de lui et je pouvais encore mieux sentir son pénis en moi. On n'entendait plus que nos respirations saccadées et le bruit de nos peaux se rencontrant.

- Clémence..., réussit-il à dire entre deux coups de rein. Je vais....

- Moi... aussi.

Il fallut encore deux allées-retours avant que la jouissance nous emporte. Je le sentis se déverser en moi alors que je redescendais petit à petit sur terre.
Il nous fallut bien dix minutes pour reprendre nos esprits.
Il allait se retirer quand son sexe reprit de la vigueur. Je le regardais, étonnée.

- Je te signale que je suis un ado bourré d'hormones, dit-il sur la défensive.

- Mais je ne m'en plains pas.

Tout sourire il recommença à bouger tendrement. Et le second round commença.

Alors toujours vivant ? :P

IMAGINEZOù les histoires vivent. Découvrez maintenant