IMAGINEZ

Le Labyrinthe : Newt

🔞ATTENTION LEMON🔞
Commande de @JaneLST
J'espère qu'il te plaira :)

Rien ne c'était passé comme prévu. Je devais juste aller aider Thomas avec le griffeur qu'il avait réussis à tuer et revenir. Ce n'était pas prévu que pour se venger ou nous mettre encore plus à l'épreuve, les créateurs auraient laissé les portes du labyrinthe ouvertes.

La panique avait envahi les blocards à la seconde où un bruit horrible avait retenti. Étant nouvelle, ils n'avaient pas eu l'occasion de m'expliquer en détail ce que les griffeurs étaient capables de faire.
Mais rien que voir celui que Thomas avait réussi à tuer m'avais suffi pour comprendre. On ne peut pas survivre face à ça, en temps normal, puisque qu'apparemment Thomas était une exception.
Les blocards avaient allumé des torches et renforcé la cabane et l'infirmerie. Ils ne savaient pas exactement quand et même si les monstres allaient nous attaquer.
Alors que la plupart des blocards commençaient à se mettre à l'abris, un crissement métallique attira notre attention.
Voir en vie un griffeur était complément différent que le voir écrabouillé entre deux murs. Ses pattes frappaient le sol à chaque pas qu'il faisait. Il émettait une odeur d'essence et de chaire en décomposition. Il ressemblait plus à une araignée mutante qu'autre chose.

Ce fut la panique, tout le monde courait pour échapper à la bête. Essayer de survivre face à ça avait l'air compliqué, voire impossible. On m'attrapa le bras et m'emmena quelque part, loin de cette bestiole.

Les cris des blocards étaient de plus en plus présents. On pouvait même deviner que certains d'entre eux se faisaient capturer et même pire. Alors que je courrais en suivant Thomas et d'autres blocards, quelque chose me bouscula dans le dos. La force du coup était telle que je me retrouvais étalée de tout mon long par terre.

Je me retournais tant bien que mal et tombais sur la tête monstrueuse d'un griffeur. Il avait son dard levé dans ma direction. J'avais l'impression qu'il attendait quelque chose pour passer à l'attaque. Peut être que je bouge pour m'enfuir ou quelque chose d'autre.

Je me contentais de le regarder en écarquillant les yeux. J'avais bien trop peur pour faire le moindre geste. Alors qu'il poussa un cri strident et qu'il s'apprêtait à me planter son dard dans ma chaire, cinq lances en feu furent lancées sur lui. Il s'enflamma instantanément et j'en profitais pour me relever et partir rejoindre les blocards qui venaient de me sauver.

C'est une fois à l'abri bien caché que je sentis un liquide chaud s'écouler de mon front. Les cris des garçons mélangeaient aux cris des griffeurs étaient insupportables. Ils étaient en train de se faire tuer et on ne pouvait rien faire pour les aider. Si seulement il y'avait une manière de les éliminer facilement.

Les heures passaient et le silence revient peu à peu. Quand nous sortions de notre cachette le constat du massacre était désastreux. Tout avait été détruit, brûlé. En une nuit ils avaient perdu tout le travail qu'ils avaient fourni en plusieurs années.

Je fus prise en charge par un medjak qui m'accompagna jusqu'à l'infirmerie qui était restée quasiment intact.
Je fus installée dans une petite pièce qui comportait un lit et une chaise. Je m'assis sur le lit et il soigna ma plaie à la tête.

- Je préfère que tu restes ici, si tu as le moindre problème tu m'appelles.

Je me contentais d'hocher la tête. Alors que j'allais me reposer, une personne entra dans la pièce. Newt. Il se précipita vers moi et posa ses lèvres sur les miennes.

- Ça va ? Me demanda-t-il. Tu n'as pas mal autre part ?

- Non ça va, répondis-je.

Il parut rassuré mais il préféra regarder ma plaie sous le pansement qu'on m'avait fait. Alors qu'il l'avait vu, était rassuré et qu'il remettait le bandage correctement, ses yeux dérivèrent sur les miens. Il me regarda longuement avant de se pencher doucement vers moi. Ses mains emprisonnèrent mon visage et il m'embrassa comme jamais il ne m'avait embrassé. Sa langue caressait tendrement la mienne alors que son corps se faisait plus insistant contre le mien. Je me laissais basculer en arrière et l'emportais avec moi.

Une de mes mains se perdit dans ses cheveux alors que l'autre se chargeait de lui enlever son pantalon. Ne portant rien en dessous, je pus aisément me saisir de son sexe.
Ses gestes pour me déshabiller étaient désordonnés mais réussirent finalement à leur but. Sans plus attendre, il s'engaina en moi et commença directement un rythme soutenu. Normalement il préférait faire durer le moment et aller doucement mais là, c'était plus une étreinte pour se rassurer. Il s'enfonçait profondément et durement en moi et je dus retenir plusieurs gémissement. Le vieux lit en bois grinçait sous la force de ses coups de hanches. Je griffais plusieurs fois son dos alors que je me mordais fortement les lèvres. C'était si bon qu'un soupir tremblant m'échappa. Il avait la tête enfoui dans mon cou en train de me le lécher. Ça allait si vite que je fus prise par surprise par le torrent d'émotion qui s'abattit sur moi. Je me sentais me resserrer autour de lui et je pus le sentir faire encore plusieurs vas-et-viens avant de se déverser en moi.

Nous étions bout de souffle mais vivant. Et c'est tout ce qui comptait.