NDA: 2 suites dans la même journée -- petit cadeau pour vous 😉
La pudeur se promène à poil depuis la piscine de Loana
•Sopranoj'ai tenu au courant ma mère pour ma rencontre avec mon père... Thomas. Hamid est de plus en plus distant avec moi... Malgré, nos tensions il y avait ce lien qui nous reliait... quand je m'approchait pour lui embrasser le front, il ne deviait pas la tête... mais depuis qu'il sait que j'ai contact avec mon géniteur, j'ai plus droit au moindre regard, ni même une once d'attention ... c'est tellement froid, et électrique, que je m'interdit d'aller les voir au quartier... j'arrive plus à faire face à Hamid... j'comprend vraiment pas son attitude.
Aziz a trouvé un petit appartement... Alalala qu'est ce que j'me fais chier sans lui! Mais il vient souvent me rendre visite après son taf, ça me fait toujours aussi plaisir de le voir!
j'etais sur Internet à pré-commander des livres, ouiii encore des livres! je suis une croqueuse de livre! Que veux-tu? Najib passe devant moi en m'offrant une tape.
-garde tes mains dans ta poche connard!!
-parle bien sale grosse vache va! tema comment t'es grosse! previent si pour faire les courses j'dois vider mon compte en banque !!
-c'est ta mère la grosse vache trou d'balle!je reporte mon attention sur l'écran du PC, mais c'est sans sur compter Najib pour m'écraser son poing en pleine face !! ma tête devit à droite... complètement sonnée, je m'allonge sur le dos en maintenant mon nez avec mes mains... je gémis de douleur... c'est horrible. j'essaie de m'asseoir mais une migraine me prend... quelques minutes après, j réussi à me mettre sur pied... connard. je titube jusqu'à la salle de bain et trouve appuie contre le lavabo... j'ouvre le robinet et y laisse couler l'eau froide... ma vue est trouble, les objets se dédoublent... ma tête me dit de me laisser aller, de me laisser tomber dans les pommes... mais cette petite voix, sûrement la voie de ma petite princesse qui me demande de rester forte et résister, dans le cas contraire, j'risque de me fracasser le crâne contre ce carrelage froid et de perdre mon petit ange...
l'eau froide coule désormais sur ma main tremblante, cette fraîcheur est un mini électrochoc... je reprend mes esprit, les larmes coulent bien évidement.... la tristesse en moi équivaut à l'océan Atlantique... ne pas pleurer me resouderais à la noyade, au suicide...
je me rince le visage, saisi une serviette et la mouille maladroitement... je m'assois au sol à une lenteur affolante... je dispose la serviette froide sur mon visage et reprend peu à peu toute ma lucidité... ma main de pose sur mon ventre arrondi, mon pouce caresse ce dernier... je me calme petit à petit...
Alala ma chérie, tu n'es même pas encore née que tu arrives déjà à me calmer... à chaque fois que je te sens bouger, j'en suis heureuse... tu es ma source de bonheur, mon amour à moi....
je me relève, et je sors des cotons .... j'essuie tout ce sang ... et retourne dans ma chambre... je m'allonge lentement sur mon lit, et caresse mon ventre, les larmes mouillent mes joues ... plus le temps passe, plus Najb devient étouffant et imprévisible... mais il est certain que je dois supporter pour ma chérie... je sais qu'est ce que ça fait de vivre sans son papa, son père.... je ne lui affligerait pas une tel souffrance... quitte à mourir à petit feu, elle ne mérite pas une tel souffrance, un tel manque! .
je décide d'aller m'aérer pour changer d'air... je m'habille en mode "sport", attrape ma veste et mes écouteurs et c'est parti pour une marche dans les bois avec Soprano qui me berce...
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Une battante battue
General Fiction||«une battante battue». Dans cette société, beaucoup sont mal menés sous leur propre toit. Ils sourient au monde sans que personne ne puisse se douter de quoi que ce soit, même leur famille ne remarque rien... Ils deviennent comédiens dès lors qu'...