Suite au Drabble "Je n'ai pas peur de toi", une gentille lectrice m'a donner une petite idée. Donc je vais vous l'écrire en os ou fiction. J'espère que cette lectrice se reconnaîtra.
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Stiles est un petit garçon de dix ans...
Accompagné de Derek, nous marchions dans la forêt, pour nous rendre en ville faire les course. C'est la première fois que je retourne en ville depuis que je me suis sauvé de la voiture de l'insistante sociale. Je souris en regardant autours de moi, je suis content d'accompagner Derek.
Nous arrivons à la lisière de la forêt, je regarde Derek mettre sa capuche alors que lui se rapproche pour m'ajuster le bonnet sur ma tête. Il me sourit et je lui prend la main pour être sur de ne pas le perdre dans les rues.
Nous sortons de la forêt et je regarde autours de moi, rien n'a changé, il fait toujours aussi calme.
Derek et moi marchons une vingtaine de minutes avant d'arriver devant un magasin. Nous entrons et à l'intérieur une bonne odeurs se fait sentir. Je prend un panier à roulette et reprend la main de Derek que j'avais lâcher. Nous avançons dans les allers et je regarde toute la nourriture sur les présentoirs.
*~*~*~*
Derek et moi venons de sortir du magasin et nous sommes dans les rues. Je vois un petit rassemblement de gens autours d'une vitrine de magasin et entend quelque commentaire.
- Déjà un ans, que ce petit à disparus. - Qu'es ce que c'est malheureux. - La police tente encore de le retrouver, mais ils n'ont aucune piste. Ils commencent à douter qu'il soit toujours vivant. - Pauvre petit. - J'espère que l'ont vas le retrouver, que dieu veille sur toi StilesStilinski.
Je comprend bien vite que c'est de moi dont on parle, je sers la main de Derek et le force à avancer plus vite. Il comprend et nous quittons la rue. Quand il n'y a plus personne, nous nous stoppons, je baisse le regard sur le trottoirs et vois une feuille un peu chiffonner, je la prend dans mes main et regarde. Un avis de disparition, mon avis.
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Je la plis et la range dans ma poche.
Puis nous reprenons le chemin jusqu'à la maison. J'ai hâte de rentrer car toute cette marche m'a épuiser. J'ai juste envie de dormir maintenant. Je pense que Derek le sens, puisqu'il se stoppe et s'accroupit me demandant de monter sur son dos pour les deux bonnes heures de marche qu'ils nous restent encore. Je m'amuse avec les cheveux de mon loup, les encerclant de mes petits doigts, les caressants, ils sont tous doux et soyeux.
Tout doucement je sens mes yeux se fermer, le reste du voyage je somnole.
Je ne vois pas Derek arriver dans la plaine, ni me poser dans le lit, je ne le voix pas non plus me regarder tendrement.